[Setlist] PARIS 4 juillet

CC Rider a écrit:
Et puis ça fait quelques années que j'ai laissé tomber les concours de pits.

RedSean a écrit:J'ai trouvé le concert supérieur à celui de Montpellier, le public plus chaud, le pit était même vraiment brûlant cette fois ci.

Kitty a écrit:

Véro a écrit:

RJ a écrit:Profitez bien de cette soirée bande de veinard...bon j'étais à San Sebastian...mais p..... Paris....M.... fais C....


PS : Kitty ca va aller la voix ??...parce ce que, il y en a une qui attends ça dédicace...!!!!!

ah oui kitty soite prete pour moi demain

OUI IM READY

Fredfish a écrit:Probablement un avant goût d'un petit montage vidéo que j'ai envie de vous offrir... La soirée fut divine. Merci à Eric, Isa et leur "gamin" ! Mon premier message juste pour les yeux...

http://www.elfbi.com/video/bruce.mov

Fred

Bruce000 a écrit:

Fredfish a écrit:Probablement un avant goût d'un petit montage vidéo que j'ai envie de vous offrir... La soirée fut divine. Merci à Eric, Isa et leur "gamin" ! Mon premier message juste pour les yeux...

http://www.elfbi.com/video/bruce.mov

Fred

Super angle de vue et de très bonne qualité ! Tu étais sur les épaules de quelqu'un ou quoi ?
Par contre, le son est à retravailler ;-)

EXBLASTFURNACE a écrit:super concert.

Agréablement surpris d'avoir rencontré pas mal de personnes pour qui c'était le premier concert du boss. Je ne pense pas qu'ils vont oublier cette première fois.

Un peu chanceux car nous étions 4 et avons eu les 4 derniers fameux bracelets pour le pit !!! Quelle ambiance dans le pit, ce concert a défilé à toute vitesse. l'éclate totale en sautant en l'air jusqu'à ne plus pouvoir, n'est -ce pas solo et hasubn.

content aussi d'avoir pu vous saluer (josé, bruno, phil,)

hope for next year
philippe

devil59620 a écrit:Je rentre pile poil de mon court séjour Parisien et comme la plupart d'entre vous, toujours pas redescendu de mon nuage...surtout grâce à ce qui s'est passé hier soir...difficile donc de parler du 1er show après la claque reçue il y a encore quelques heures mais je me lance quand même...
...A l'époque du choix des concerts, j'avais hésité entre un "triptyque" Francfort-Cologne-Bercy 1 ou Cologne-Bercy 1-Bercy 2, j'ai opté finalement pour la seconde solution et sur ce coup là, je crois que j'ai eu un sacré flair (ou un sacré coup de bol)
Après avoir pris mes quartiers dans mon Ibis habituel d'Aulnay Sous Bois, direction Bercy ou j'atterris vers 18h15...
...Un jambon beurre à l'arrache et je rejoint l'ami Philippe (The diver) avec qui j'avais pris rendez vous dans la matinée...
Un super moment en sa compagnie avec une bonne bière, à discuter de notre passion pour le boss, de foot évidemment et de nos vies respectives...
...Dommage de n'avoir pas pu rencontrer plus de personnes avec le nombre de personnes du forum qu'il y avait sur place...
Phil rejoint son siège Porte P, moi et ma chérie les notres, porte O...
...Comme on me l'avait annoncé, de très bonnes places, très proche de la scène, ce qui m'avait sans doute manqué lors de mes derniers concerts, la proximité de la scène...(même si on est encore loin de la proximité qu'apporte une place dans le pit, mais là, je suis plus d'attaque )...
...Je remarque également que je suis entouré de personnes de nationalités étrangères... pas un français autour de moi, que des espagnols, italiens, allemands...
...Lorsque l'on sait que les 1eres personnes qui squattaient la queue pour le pit étaient à majorité italiennes et espagnoles, je me demande quel serait l'affluence de Bercy sans l'apport de tous ces étrangers...Bercy à moitié vide ?...
...Alors que dire sur ce 1er show ?...
...Cologne ne m'avait laissé que de bon souvenir et ce 1er show de Bercy m'en ravivera les souvenirs, puisque y ressemblant beaucoup...
...Antoine de Caunes ? sans doute la surprise que tout le monde attendait
...La première partie est classique, mais "Badlands" que j'avais pas eu à Cologne est la bienvenue, pour mettre le feu, y a pas mieux...
..."E street Shuffle", déjà eu à Cologne, mais là, à Bercy, le rendu est encore meilleur, ces cuivres, percussions, une véritable tuerie...
"4th of July" vient casser ma (très légère) impression de déjà vu, car je ne l'attendais vraiment pas celle là...
"Jack Of all trades, magnifique également, et ce solo de Curt Ramms qui me fout la chair de poule à chaque fois...
...J'accueille ensuite "Darkness", "Johnny 99" et "Promised land" avec plaisir, "easy money" également, puisque Mme Springsteen est là, mais qui chasse malheureusement "shackle and drawns" de la setlist...
"Independance day", on l'attendait aussi mais peut être pas en solo au piano, encore un sublime moment...
...Le reste du show est classique, mais je prends toujours autant mon pied malgré tout..."Born in the USA" encore plus puissant dans l'antre de Bercy qu'en stade, avec le plancher qui vibre sous nos pieds...
"Born to run", "Bobby jean", "Dancing", peu de changement dans les rappels, mais Bercy est debout, ça saute de partout, dans le pit surtout, dans la fosse mais dans les tribunes aussi c'est un maximum de plaisir...
...Comme à Cologne, le traditionnel hommage à Clarence sur cette tournée arrache quelques larmes à ma chérie, et on finit avec le festif "American Land" qui permet à l'ensemble de la troupe de se retrouver sur le devant de la scène afin que leur boss nous fasse savoir que le E street Band est...légendaire...mais ça, on le sait depuis longtemps...
...Nous quittons Becry après 3h25 de pur bonheur, et aussi avec quelques questions en tête pour le show du lendemain notamment sur la variété de la setlist par rapport à celle du 1er soir, sur la durée du 2eme show, beaucoup laissant entendre qu'il serait moins long...
...Bon j'ai déjà eu ma réponse à ces questions et cela a dépassé toutes mes espérances....

1er soir où j'ai fait pas mal de belles photos et bonnes vidéos que je posterais bientôt...

Bruce Springsteen joue les artificiers à Bercy
LE MONDE | 05.07.2012

Il ne pouvait pas ne pas la jouer. Seul au piano, Bruce Springsteen n'eut qu'à dire "a song... special for this evening", une chanson spécialement pour ce soir : le public du Palais omnisports de Paris-Bercy (POPB) a compris qu'allait débuter Independence Day. On est le 4 juillet, jour de fête aux Etats-Unis, où est célébrée l'adoption de la Déclaration d'indépendance le 4 juillet 1776. Jour de fête aussi pour les nombreux Américains venus au POPB, probablement plus d'un tiers de la salle archi-comble, vue l'inhabituelle compréhension du public aux intermèdes parlés par Springsteen - le chanteur et guitariste n'est pas connu pour une diction où chaque mot se détacherait comme une perle de rosée.
Que la chanson, écrite en 1977 et publiée sur l'album The River (1981), ait peu à voir avec la fête nationale états-unienne mais évoque le jour où un fils annonce à son père que pour lui il est temps de prendre son indépendance, importe peu. Elle était attendue. Ballade poignante, que l'interprétation retenue de Springsteen porte vers des sommets, c'est une première dans la tournée 2012, commencée le 18 mars à Atlanta (Géorgie) et prévue, pour l'heure, jusqu'au concert à East Rutherford (New Jersey), le 22 septembre. Entre-temps, passage par l'Europe, du 13 mai à Séville (Espagne) au 31 juillet à Helsinki (Finlande).

Autre première et autre évocation du 4-Juillet, avec 4th of July, Asbury Park (Sandy). Plus dans le sujet, avec la mention des feux d'artifice, de la fête qui a lieu à Asbury Park, ville côtière du New Jersey, l'Etat de naissance de Springsteen le 23 septembre 1949. Le narrateur, adolescent paumé, est amoureux de Sandy ("Oh love me tonight/And I promise I'll love you forever"). Là aussi on est dans le registre de la ballade, mais avec tout le groupe donnant à la chanson une belle intensité. Dans la foule, on a repris en choeur une bonne partie du texte. Et ce qui vaut pour cet extrait de l'album The Wild, The Innocent and The E Street Shuffle, le deuxième de Springsteen, paru en 1973, vaut pour la plupart des chansons. Springsteen a beau être à Paris, c'est bien devant ses compatriotes (et des anglophones) qu'il chante ce soir.

Le 28 juin 2009, à Hyde Park, à Londres, Springsteen avait débuté son concert par London Calling (1979), l'un des hymnes du groupe The Clash, provoquant un rugissement de plaisir des quelque 100 000 spectateurs.

A Paris, on a droit à La Vie en rose à l'accordéon, par les deux claviéristes, Roy Bittan et Charles Giordano. Prudemment et contrairement à son collègue Iggy Pop qui a récemment transformé la chanson popularisée par Edith Piaf en salmigondis, Springsteen ne se risque pas à en chanter les paroles. Et vite passé le clin d'oeil, il lance son légendaire "One... Two... One, two, three, four" qui met en route la machine E Street Band.

We Take Care of Our Own, puis Wrecking Ball, histoire de bien affirmer qu'il entend défendre son nouvel album. Les nombreux extraits (sept des onze chansons de Wrecking Ball) prennent urgence et allant au concert. Puis c'est Badlands. Du Springsteen classique, daté 1978. Tout le POPB reprend en choeur les "oh, oh, oh, oh, oh", effet frisson garanti, avec Springsteen qui fait venir le chant vers lui par de grands gestes.

Pas besoin de fumigènes, de décors, d'effets spéciaux. Springsteen, avec ou sans guitare, se tient au centre de la scène et le groupe répond au quart de tour. Aux membres officiels du E Street Band (Bittan, Nils Lofgren et Steven Van Zandt aux guitares, Garry Tallent à la basse, Max Weinberg à la batterie et Patti Scialfa au chant et à la guitare acoustique) s'ajoutent le deuxième claviériste, trois choristes, la violoniste Soozie Tyrell, un percussionniste et une section de cinq vents.

Cela fait du monde et du gros son. Pas toujours subtil dans les arrangements des vents, cette masse révèle son efficacité sur les compositions les plus connues, les plus anciennes (The E Street Shuffle, Darkness on The Edge of Town, Born to Run, Dancing in the Dark, le final Tenth Avenue Freeze Out). Avec le miracle d'équilibre qu'est The River, l'une des plus belles mélodies de Springsteen. Et l'hommage à la soul avec The Way You Do the Things You Do, écrite par Smokey Robinson et Bobby Rogers, et 634-5789 (Soulsville USA) écrite par Eddie Floyd et Steve Cropper. Une minute avant minuit, c'est le dernier salut, après 3 h 23 d'un concert triomphateur. Le jeudi 5 juillet, le POPB attend de nouveau Springsteen et c'est aussi à guichets fermés.

devil59620 a écrit:difficile donc de parler du 1er show après la claque reçue il y a encore quelques heures

mathis a écrit:

devil59620 a écrit:difficile donc de parler du 1er show après la claque reçue il y a encore quelques heures

c'est mon sentiment, à la lecture des premiers compte-rendus du 5.....concert où je n'étais pas.