HIGH HOPES , la presse en parle

L'Invité a écrit:8 Pages consacrées à Bruce dans le N° de Février 2014...  

C'est une bonne idée d'avoir choisi une photo récente pour illustrer cet article de fond.
Ca fait chanteur moderne du coup, plutôt que chanteur du passé

C'est un...  Agenda Springstinien sur les 40 ans au service du R&R...

D'où la photo des débuts à mon avis.   

Voici la première page,(  j'en mets pas plus pour respecter le copyright...)   
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http://www.casimages.com/f.php?f=140116065011327282.pdf
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Dans le genre nul et inutile, il fait très fort le "papier" de rock&folk. Navrant.

L' Obs de cette semaine ...

"Saint laïc"? Pas vraiment... et pas vraiment une première, le coup du prêcheur! Ca révèle un truc: chacun arrange un peu le boss à sa sauce, pour qu'il corresponde à l'image que l'on se fait du saint patron d'aujourd'hui. Amusant.

Charts UK: 10ème numéro un pour Springsteen

Côté albums, Bruce Springsteen met fin au règne d'Ellie Goulding : après deux semaines en pole position avec "Halcyon Days", la chanteuse rétrograde d'un étage suite à un repli des ventes de 6% à 24.800 exemplaires. Le Boss, lui, débarque directement numéro un avec "High Hopes", qui lui offre son dixième numéro un : le chanteur américain a désormais plus de numéros un à son actif que Michael Jackson ou David Bowie, égale les Rolling Stones et U2, et n'est plus devancé que par les Beatles, Elvis Presley, Madonna et Robbie Williams. Le top 3 de la semaine est complété par Beyoncé, dont le cinquième opus éponyme a encore séduit 17.500 acheteurs (-20%) et cumule 271.200 ventes à ce jour, là où Ellie Goulding passe largement le cap des 700.000 exemplaires cette semaine.

Springsteen en promo pour une télé australienne, l'occasion de discuter HIGH hOPES avant la tournée imminente...

http://video.au.msn.com/watch/video/the-boss-bruce-springsteen/xyhwnyw

http://video.au.msn.com/watch/video/entertainment-news/xbcnois

http://www.telerama.fr/musiques/high-hopes,107273.php
Des reprises et des morceaux revisités. On n'espérait pas grand-chose, on découvre au final un album inégal mais marquant. Le Boss, c'est bien lui.

On aime beaucoup

Le très productif Bruce Springsteen a toujours pratiqué un étrange tri sélectif lorsqu'il s'agissait de concevoir ses ­albums. Les titres qu'il gardait n'étaient pas toujours les meilleurs, juste ceux qui paraissaient à ses yeux former un ensemble cohérent. Que High Hopes soit un disque conçu à base de chutes revisitées et de reprises n'est donc pas forcément une mauvaise nouvelle. Après le banal Working on a dream et le plus satisfaisant mais dispensable Wrecking Ball, le Boss propose même son disque le plus puissant depuis un moment. Inégal, certainement, peu homogène, assurément, mais avec un lot important de titres marquants. L'étincelle qui a provoqué ce bienvenu retour de flamme ? Tom Morello, remplaçant d'un Steve Van Zandt accaparé par la ­série télé Lilyhammer, dont on pouvait redouter le pire. Mais l'ex-guitar hero de Rage Against the Machine a su calmer ses ardeurs hard tout en stimulant celles, plus émouvantes, de Bruce.

L'album, qui semble retracer la remontée au sommet (de sa popularité du moins) du E Street Band, galvanisé depuis 2000 par la pertinence retrouvée de son engagement (Bush, le 11 Septembre, Obama...) et la perte douloureuse de membres clés (Danny Federici, Clarence Clemons), démarre par le meil­leur et le pire. High Hopes, pour commencer, deuxième et plus convaincante réappropriation du titre phare des country punks The Havalinas. Bien plus qu'en 1996 (sur l'EP Blood Brothers), Springsteen l'a faite sienne : enflammée et emphatique, mais sans excès. Quel dommage d'enchaîner avec Harry's Place, rebut de The Rising qui sonne comme du Chris Rea daté.

Heureusement, ensuite, il y a de nom­breuses raisons de se réjouir. Plus que la sympathique mais très fidèle reprise de Just like fire would, des Saints, on retient la plainte rageuse d'American Skin (41 Shots), le dylanesque et hanté The Wall, le fragile Down in the hole et même le joyeux, taillé pour les stades, Heaven's Wall, aux accents de J. Geils Band festif. The Ghost of Tom Joad, transformé par Morello en lent brûlot southern rock — l'ombre de Ly­nyrd Skyn­yrd plane —, passe aussi aisément la rampe. Et comme le Boss, homme de culture et de goût, a l'intelligence de ­finir en beauté avec sa relecture magnifique du Dream baby dream de Suicide (loué par Alan Vega lui-même), on quitte ce High Hopes sur une belle note d'espoir.
— Hugo Cassavetti

http://www.lavoixdunord.fr/culture-loisirs/high-hopes-quand-le-boss-rajoute-de-la-rage-a-ses-ia0b0n1853774
Par ANTHONY BERTELOOT

Replonger dans un nouveau Springsteen, c’est un peu comme recroiser un bon vieux pote pas vu depuis une paye. On n’est pas forcément au bout du fil avec lui tous les trois jours, mais on se retrouve avec plaisir. Et on prend le temps de refaire le point une bonne bière à la main.

Deux ans à peine après la sortie de Wrecking Ball, inspiré par la crise aux États-Unis, Springsteen revient à 64 ans avec un album dont le seul titre suffit à donner envie de repartir à la conquête de l’Ouest. High Hopes propose une douzaine de chansons qui sont soit des reprises du « Boss » himself, soit d’autres groupes plus ou moins obscurs (Havalinas, Suicide…). Ou tout simplement des morceaux laissés de côté à une époque et ressuscités pour la dix-huitième livraison de l’homme du New Jersey. Pas des chutes, mais plutôt des chansons qui n’étaient pas cohérentes avec l’album de l’époque, comme il le justifie lui-même. Et qui s’intègrent parfaitement à l’air du temps de 2014. Ça démarre fort avec le titre qui a donné son nom à ce nouvel opus. Une intro pétaradante pour un titre qui annonce le meilleur. Harry’s Place poursuit avec un groove sauvage, entretenu par une guitare dont le son nous rappelle quelque chose, ou plutôt quelqu’un. Le titre avait été initialement enregistré pour l’excellent The Rising, paru en 2002, et marqué par l’attentat des Twin Towers. Ah oui, au fait, la guitare, c’est celle de Tom Morello, dynamiteur en chef de Rage Against The Machine, qui avait justement repris en 2000 The Ghost Of Tom Joad. Ce titre phare de la discographie de l’homme tout en jean, retravaillé dans High Hopes, prend une tournure metal/fusion en laissant la part belle à Morello, qui apparaît avec plus ou moins de discrétion sur sept des douze chansons. American Skies (41 Shots), morceau emblématique de Springsteen, a lui aussi eu droit à son lifting, comme un pied de nez à ceux qui avaient reproché au rockeur sa diatribe contre le meurtre (41 coups) d’un jeune noir par les policiers de New York en 1999. On ne se refait pas. Just Like Fire Would est un hommage à The Saints mais sonne comme du Springsteen pur jus. Down In The Hole, émouvante ballade introspective, permet de reprendre son souffle avant un Heaven’s Wall plein de guitares énergisantes et de cuivres rutilants. Impact à vérifier dans les stades. Le E Street Band reprend alors le dessus, y compris dans les titres suivants, Frankie Fell In Love ou This Is Your Sword, dont les violons donnent une tonalité irlandaise à la suite du disque. L’album perd un peu de son intensité mais le son reste carré et l’ensemble de haute tenue. Puissent les grands espoirs du « Boss » se concrétiser. On ne demande qu’à y croire avec lui.

Je ne sais si quelqu'un en a parlé sur le site et dans ce cas, désolée pour le doublon: une longue interview de plus d'une heure à écouter et à lire (en anglais):
http://www.npr.org/blogs/therecord/2014/01/14/262485987/a-long-road-to-high-hopes-an-interview-with-bruce-springsteen

Hugo Spanky a écrit:Dans le genre nul et inutile, il fait très fort le "papier" de rock&folk. Navrant.

Une belle arnaque !!!

Dans " Télé Loisirs "...   

L'Invité a écrit:Dans " Télé Loisirs "...   

L'une des critiques les plus pertinentes jusqu'à présent...  

HH Dans Rolling Stone MARS 2014:
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http://www.casimages.com/f.php?f=140214111249181742.pdf
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Oh chouette! Un article sur Van Morrison dans le prochain Uncut.  

Personne ne lit Gala par ici..?   

Bruce Springsteen: torse nu, c'est lui le Boss!

Le chanteur possède un corps de jeune premier
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http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/bruce_springsteen_torse_nu_c_est_lui_le_boss_310497
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Bruce Springsteen a profité de sa tournée australienne pour s'offrir une petite baignade. L’événement serait resté anodin si le chanteur n’avait pas posté sur Instagram quelques photos de ses ébats marins. Beau gosse!


Sur la photo, un homme porte une casquette à l’envers. Il rit aux éclats, ses bras musclés et secs marquent un mouvement de rapidité. Son torse plat et imberbe ne montre aucun tatouage. S’il n’y avait ces tempes grisonnantes, l’on pourrait croire que l’homme en question est un trentenaire du quartier des affaires, adepte de Zumba et dont le seul vice consiste à boire du jus d'orange le dimanche matin. Mais il n’en est rien.

Le mâle ici présent a 64 ans. Il passe son temps dans les avions pour enchaîner des concerts de rock, qu’il donne trois heures durant, parfois davantage, tout en sautant, jouant de la guitare et gueulant dans un micro devant des milliers de fans. Il s’appelle Bruce Springsteen.

Le secret de cette forme insolente? Dix kilomètres à pieds trois fois par semaine, de la musculation et un régime strictement végétarien. Un programme que le Boss entretient depuis une trentaine d’années. « Il a le même tour de taille que lorsque je l’ai connu, quand on avait 15 ans » raconte Steve Van Zandt, le guitariste du E Street Band.

Exemplaire!
 

Gala aurait bien évidemment été bien en mal de parler de la musique ou du contenu des concerts du Boss. (c'est mauvaise langue de dire ça? )
Et si c'est vrai que la première photo est assez bluffante comme dans la description, mieux vaut tout de même les regarder dans l'ordre. Apparemment :
- en photo 2 Roy Bittan sur les épaules du Boss,
- en photo 3, le pauvre malheureux déséquilibré avec le Boss hilare de masochisme humoristique, ou de maladresse assumée
- et en troisième lieu, photo 1, le beau Goss fier de sa manoeuvre avec en second plan les 4 fers en l'air du pauvre Prof.

calispera a écrit:Gala aurait bien évidemment été bien en mal de parler de la musique ou du contenu des concerts du Boss. (c'est mauvaise langue de dire ça? )
Et si c'est vrai que la première photo est assez bluffante comme dans la description, mieux vaut tout de même les regarder dans l'ordre. Apparemment :
- en photo 2 Roy Bittan sur les épaules du Boss,
- en photo 3, le pauvre malheureux déséquilibré avec le Boss hilare de masochisme humoristique, ou de maladresse assumée
- et en troisième lieu, photo 1, le beau Goss fier de sa manoeuvre avec en second plan les 4 fers en l'air du pauvre Prof.

mince ! j'ai loupé çà !! )

Ce qui est en vérité assez stupéfiant c'est la manière dont la gars fait de l'accordéon. Je ne parle pas de musique mais de la prise puis de la perte de poids régulière, qui n'est pas anodine. Après on peut toujours gloser sur son régime perpétuel depuis 30 ans, mon oeil... disons qu'il sait où aller en cure. Bon c'est un espoir pour tous ceux qui prennent du poids de temps à autre... et pour tous ceux qui grincent des dents à l'idée d'un régime perpétuel... 
EDIT: Tiens allez je vais plus loin à partir de cette photo: ce qui me fascine chez le boss c'est qu'il s'oppose à la courbe classique: gamin qui apprend et grandit / jeune qui ose / trentenaire ou quadra au top de la forme et de l'impact sur la société / lent déclin jusqu'à la mort. Il passe d'un creux à un top, redescend, rebondit, repart, se régénère. Ca peut concerner sa musique ou sa forme physique. Assez enthousiasmant non?

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Vue sur Amazon...le 1er lien sort le 26 mai, le second est dispo depuis le 12.
Qqun a des infos là dessus??