Southside Johnny

allumette a écrit:Hier donc au Paradisio

https://www.youtube.com/watch?v=8ArxwNxNLAQ

darlington a écrit: Le maillot de foot, la moustache, le bide... niveau look, c'est pas trop ça!

françoise a écrit:super concert, quelle énergie, quel enthousiasme, quel talent. 2h30 de pur bonheur

françoise a écrit:2h30 de pur bonheur

bobe a écrit: Une tournée avec le Boss , ça pourrait être chouette NON

the diver a écrit:ouh mais ça m'a l'air d'être du Southside en pleine forme ça !

JC a écrit:Reçu ce matin le SOULTIME! et le MEN WITHOUT WOMEN mais je n'ai pas encore "le droit" de l'écouter

Par contre Dom je l'ai ouvert, c'est un digipack avec pochette ouvrante, d'une dimension un peu plus grande (taille des digipacks japonais), un livret de 8 pages avec une page de commentaire d'un certain Leo Sacks, les paroles, les crédits habituels, un patchwork de photo sur la double pochette centrale, en vinyle ça doit en jeter.

En attendant j'attaque la période Mercury ce soir...

bill horton a écrit:

JC a écrit: le coffret seul m'était revenu à 49€ et des poussières

Ailleurs que sur son site, ça devait être pas mal plus cher (sinon je vois pas trop pourquoi je ne l'aurais pas pris mais bon, tu as dû payer une blinde en frais de port du coup?)

A rootsier direction for Southside Johnny Lyon, his band the Poor Fools have released their highly-anticipated debut CD Songs From the Barn on LeRoy Records. Songs From the Barn was recorded between December 2011 and December 2012, in between both the Asbury Jukes' and the Poor Fools' heavy touring schedules, at Sanctuary Sound II in New Jersey, a former horse barn -- hence the title -- that was converted into a recording studio by owner and longtime pal Jon Bon Jovi. With an "Americana-ish" tone, mixing Country, Blues, R&B, and rock 'n' roll, the album includes six all new original tracks written by Southside and longtime collaborator Jeff Kazee, along with their versions of cover songs made popular by Randy Newman, Bob Dylan, Bo Diddley, Lucinda Williams and Alvin "Shine" Robinson.
The Poor Fools line-up captured here includes Southside and Kazee, who produced together, along with John Conte, Neal "The Dude" Pawley, and Tommy Byrnes, Francis Valentino, and Sister Soozie Tyrell. Multi-instrumentalists and singers, all -- musically, The Poor Fools ride the Mystery Train to wherever it takes them, and you'll probably wanna jump on for life to join 'em.

1. Soon
2. Mexicali Waltz
3. Can't Let Go
4. Gone Underground
5. Down Home Girl/Something You Got
6. Blood From a Stone
7. So Good
8. Just Like Tom Thumb's Blues
9. Beneath Still Waters
10. I Can Tell
11. Winter in Yellow Knife
12. Old Kentucky Home

JC a écrit: Par contre connais-tu ce CD sorti il y a deux ans ?

Magie du Net, j'ai retrouvé la date exacte du concert de Southside Johnny au Bataclan : le 11 octobre 1979. Deux jours avant Lou Reed. Il y aurait ensuite les Dogs (le 17), Leonard Cohen (le 22)… Bon, stoppez là immédiatement ou je deviens nostalgique. De l'année, j'étais sûr. C'est celle de l'album The Jukes. Pochette verdasse, titre en néon. Notre homme attifé comme un flic, plus débonnaire qu'inquiétant. Ce millésime est moins bon que l'inégalable Hearts of stone : Steve Van Zandt est passé définitivement chez Springsteen, Billy Rush a pris les commandes. Il y a des restes, les Asbury Jukes pètent le feu tout pareil, hélas les vrais grands morceaux se font rares. All I want is everything promet plus qu'il ne tient mais fait un démarrage honnête. Vertigo nous emmène dans sa spirale cuivrée et c'est déjà la fin du disque. Au milieu, dans un entre-deux potable, il y a une grande ballade assez lyrique, dans un style que Johnny Lyon affectionne. Il l'a d'ailleurs écrite tout seul, ou presque. Elle s'appelle Paris et même si ma mémoire flanche un peu à distance de trente-six chandelles, je jurerais qu'il l'a chantée ce soir-là boulevard Voltaire. Comment pouvait-il en être autrement ? Paris you're a drug, you won't let go… Est-ce bien de la ville dont il parle, ou d'une fille du même nom ? Celle des premières phrases : she left on the morning train… she never spoke of returning… Est-ce que c'est vraiment important ? Quand j'entends la chanson dans ma tête – ça fait un sacré bout de temps que je n'ai pas remis le disque –, c'est la ville qui s'impose. Memory and desire… can only bring pain… until I see you again… Entre Johnny et moi, l'histoire était en voie de se terminer. Mais le concert du Bataclan fut grandiose, il a transpiré ce soir-là toute la soul du monde, il faisait très chaud dedans, dehors je ne sais plus. Sam Cooke et Springsteen avaient pris corps en un seul homme. Avec Paris, ça dure encore et c'est pour toujours.

CC Rider a écrit:De François Gorin