Pile Poil j'écoute ça

transpirator a écrit:

CC Rider a écrit:

CC Rider a écrit:

1ère écoute.

ce disque est tout simplement inéspéré.
Sans autre ambition que celle de prolonger un peu sa vie et partager ce qui lui reste à vivre en balançant quelques accords entre potes, voilà donc ce cher Wilko en compagnie de Daltrey pour un brulot de bonne humeur communicative envoyé en quelques prises sur un répertoire millimétré dans le choix des titres.

Vraiment jouissif et tellement vivant.

S'il s'agit d'un dernier enregistrement pour la route, Wilko peut tirer sa révérence la tête très haute.
Quelle belle et riche idée que celle que ces (pas) jeunes gens ont eu là!

j'écoute ça ce soir... inespéré comme tu le dis...

inespéré c'est le mot : la jeune fille qui travaille le dimanche dans la grande surface "culturelle" de ma brousse me l'a gentiment sorti du stock car "il doit sortir demain mais c'est une petite sortie, on en a que deux, et c'est écrit que personne ne connait... c'est aussi bien que je vous le vende aujourd'hui..."....   je vais y retourner...

inespéré c'est le mot : ouais c'est frais, ça saute partout, ça parait simple et évident, ça donne envie de retourner boire une bière au 100 club en 1977..., ça donne envie de le coincer entre Eddie & the Hot Rods et Johnny Kidd & the Pirates, à côté du Dr... et bien non !

inespéré c'est le mot : c'est produit par le producteur des Manic Street Preachers, ça sonne, c'est pas le son des seventies, le Roger a travaillé sa voix, les comparses assurent (la basse et l'harmo sont incandescents), c'est maintenant que ça donne envie de boire une mousse, une grande variété dans le style des morceaux..

inespéré c'est le mot : ce ne sera pas le disque de l'année, mais il va la marquer par son parti pris et pour nous rappeler qu'il n'y a pas de genre mineur dans le Rock...  

gene a écrit:

Tophenko a écrit:

Les topics sur les reprises et Greetings m'ont donné envie de réécouter ça.   

De son avatar Ziggy Stardust à son tube bien nommé "Fame", en passant par sa période soul américaine ("Young americans"), son virage berlinois électronique ("Heroes") puis vers la musique romantique moderne ("Scary monsters"), ce documentaire nous raconte David Bowie à travers cinq années clés de sa carrière, comprises entre 1971 et 1982.

Dans les années 1960, on me disait trop avant-gardiste pour réussir.” Cinquante ans plus tard, celui qui ne voulait pas être une rock star a conquis les scènes de la planète entière. Comment David Bowie est-il passé d’expérimentateur underground à idole main-stream ? C’est cette étonnante mutation que Francis Whately fait le pari de raconter à travers cinq années clés de sa carrière, comprises entre 1971 et 1982. De son avatar Ziggy Stardust à son tube “Fame” en passant par sa période soul américaine (Young Americans), son virage berlinois électronique (Heroes) puis vers la musique romantique moderne (Scary monsters), le film nous emmène au plus près des différentes métamorphoses artistiques et personnelles du chanteur. Une proximité inédite rendue possible d’abord par les témoignages de ses collaborateurs les plus proches, dont les guitaristes Mick Ronson, Robert Fripp – auteur du riff inoubliable de “Heroes” – ou encore le musicien Brian Eno. Chacun fait notamment revivre la genèse des morceaux, et nous permet d’entrer dans l’intimité du chanteur quand il crée. Une intimité renforcée par les témoignages audiovisuels ou sonores et surtout des séquences rares en coulisses. À l’image de cette scène inouïe où l’on découvre David Bowie maniaque dans un studio de Harlem répétant avec ses choristes soul, phrase par phrase, jusqu’à obtenir l’assemblage parfait de “Young Americans”.

JC a écrit:
Une chose qui peut vous intéresser tous les deux, et d'autres ici...

Pour info:

http://www.arte.tv/guide/fr/049486-000/david-bowie-en-cinq-actes

ARTE
DAVID BOWIE EN 5 ACTES
Samedi 5 Avril
22h35 / 23h35

De son avatar Ziggy Stardust à son tube bien nommé "Fame", en passant par sa période soul américaine ("Young americans"), son virage berlinois électronique ("Heroes") puis vers la musique romantique moderne ("Scary monsters"), ce documentaire nous raconte David Bowie à travers cinq années clés de sa carrière, comprises entre 1971 et 1982.

Dans les années 1960, on me disait trop avant-gardiste pour réussir.” Cinquante ans plus tard, celui qui ne voulait pas être une rock star a conquis les scènes de la planète entière. Comment David Bowie est-il passé d’expérimentateur underground à idole main-stream ? C’est cette étonnante mutation que Francis Whately fait le pari de raconter à travers cinq années clés de sa carrière, comprises entre 1971 et 1982. De son avatar Ziggy Stardust à son tube “Fame” en passant par sa période soul américaine (Young Americans), son virage berlinois électronique (Heroes) puis vers la musique romantique moderne (Scary monsters), le film nous emmène au plus près des différentes métamorphoses artistiques et personnelles du chanteur. Une proximité inédite rendue possible d’abord par les témoignages de ses collaborateurs les plus proches, dont les guitaristes Mick Ronson, Robert Fripp – auteur du riff inoubliable de “Heroes” – ou encore le musicien Brian Eno. Chacun fait notamment revivre la genèse des morceaux, et nous permet d’entrer dans l’intimité du chanteur quand il crée. Une intimité renforcée par les témoignages audiovisuels ou sonores et surtout des séquences rares en coulisses. À l’image de cette scène inouïe où l’on découvre David Bowie maniaque dans un studio de Harlem répétant avec ses choristes soul, phrase par phrase, jusqu’à obtenir l’assemblage parfait de “Young Americans”.

transpirator a écrit:

et dedans il y a ces deux perles.... au milieu des autres...

#nicola# a écrit:J'écoute les american recording de Johnny Cash (En ce moment, c'est le n°3 - solitary man). Je viens de voir que le coffret Unearthed qui coutait une blinde vient d'être réédité au début du mois.

JC a écrit:

#nicola# a écrit:J'écoute les american recording de Johnny Cash (En ce moment, c'est le n°3 - solitary man). Je viens de voir que le coffret Unearthed qui coutait une blinde vient d'être réédité au début du mois.

Le problème c'est qu'il n'a pas dû être édité à beaucoup d'exemplaires quand il est sorti il y a 10 ans (déjà ?!!!!), et forcément, dans pareils cas, certains internautes sans scrupule s'en sont mis plein les fouilles. Cela dit pour une réédition, ça reste vachement cher, 69,99, pour ne pas dire 70... c'est un monument, une bible, soit, mais tout de même...

transpirator a écrit:

CC Rider a écrit:

CC Rider a écrit:

1ère écoute.

ce disque est tout simplement inéspéré.
Sans autre ambition que celle de prolonger un peu sa vie et partager ce qui lui reste à vivre en balançant quelques accords entre potes, voilà donc ce cher Wilko en compagnie de Daltrey pour un brulot de bonne humeur communicative envoyé en quelques prises sur un répertoire millimétré dans le choix des titres.

Vraiment jouissif et tellement vivant.

S'il s'agit d'un dernier enregistrement pour la route, Wilko peut tirer sa révérence la tête très haute.
Quelle belle et riche idée que celle que ces (pas) jeunes gens ont eu là!

j'écoute ça ce soir... inespéré comme tu le dis...

inespéré c'est le mot : la jeune fille qui travaille le dimanche dans la grande surface "culturelle" de ma brousse me l'a gentiment sorti du stock car "il doit sortir demain mais c'est une petite sortie, on en a que deux, et c'est écrit que personne ne connait... c'est aussi bien que je vous le vende aujourd'hui..."....   je vais y retourner...

inespéré c'est le mot : ouais c'est frais, ça saute partout, ça parait simple et évident, ça donne envie de retourner boire une bière au 100 club en 1977..., ça donne envie de le coincer entre Eddie & the Hot Rods et Johnny Kidd & the Pirates, à côté du Dr... et bien non !

inespéré c'est le mot : c'est produit par le producteur des Manic Street Preachers, ça sonne, c'est pas le son des seventies, le Roger a travaillé sa voix, les comparses assurent (la basse et l'harmo sont incandescents), c'est maintenant que ça donne envie de boire une mousse, une grande variété dans le style des morceaux..

inespéré c'est le mot : ce ne sera pas le disque de l'année, mais il va la marquer par son parti pris et pour nous rappeler qu'il n'y a pas de genre mineur dans le Rock...  

Tophenko a écrit:

transpirator a écrit:

CC Rider a écrit:

CC Rider a écrit:

1ère écoute.

ce disque est tout simplement inéspéré.
Sans autre ambition que celle de prolonger un peu sa vie et partager ce qui lui reste à vivre en balançant quelques accords entre potes, voilà donc ce cher Wilko en compagnie de Daltrey pour un brulot de bonne humeur communicative envoyé en quelques prises sur un répertoire millimétré dans le choix des titres.

Vraiment jouissif et tellement vivant.

S'il s'agit d'un dernier enregistrement pour la route, Wilko peut tirer sa révérence la tête très haute.
Quelle belle et riche idée que celle que ces (pas) jeunes gens ont eu là!

j'écoute ça ce soir... inespéré comme tu le dis...

inespéré c'est le mot : la jeune fille qui travaille le dimanche dans la grande surface "culturelle" de ma brousse me l'a gentiment sorti du stock car "il doit sortir demain mais c'est une petite sortie, on en a que deux, et c'est écrit que personne ne connait... c'est aussi bien que je vous le vende aujourd'hui..."....   je vais y retourner...

inespéré c'est le mot : ouais c'est frais, ça saute partout, ça parait simple et évident, ça donne envie de retourner boire une bière au 100 club en 1977..., ça donne envie de le coincer entre Eddie & the Hot Rods et Johnny Kidd & the Pirates, à côté du Dr... et bien non !

inespéré c'est le mot : c'est produit par le producteur des Manic Street Preachers, ça sonne, c'est pas le son des seventies, le Roger a travaillé sa voix, les comparses assurent (la basse et l'harmo sont incandescents), c'est maintenant que ça donne envie de boire une mousse, une grande variété dans le style des morceaux..

inespéré c'est le mot : ce ne sera pas le disque de l'année, mais il va la marquer par son parti pris et pour nous rappeler qu'il n'y a pas de genre mineur dans le Rock...  

Après avoir lu vos commentaires et la critique de l'excellent Christian Casoni dans R&F (aujourd'hui sûrement la plus belle plume de ce journal), je viens de l'acheter.
Et je ne peux qu'aller dans votre sens, après 2 écoutes.
Ce disque est incroyable. Inespéré comme le dit CC Rider.
Merci.