à la télé...et à la radio
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à la télé...et à la radio
Depuis début août, France diffuse "des trains pas commes les autres" nouvelle mouture. J'avais gardé un très bon souvenir de la première version.
Au départ, j'avais un peu peur de ne plus entendre la voix de off de François Gall pour voir à la place le reporter globe trotter. Et bien Philippe Goulger évite le piège de se placer au centre de l'image et fait un formidable passeur de rencontre, un peu dans le genre Antoine de Maximy dans J'irai dormir chez vous.
http://videos.france5.fr/video/iLyROoaf2ca2.html
le jeudi à 21h30 sur France 5
Au départ, j'avais un peu peur de ne plus entendre la voix de off de François Gall pour voir à la place le reporter globe trotter. Et bien Philippe Goulger évite le piège de se placer au centre de l'image et fait un formidable passeur de rencontre, un peu dans le genre Antoine de Maximy dans J'irai dormir chez vous.
http://videos.france5.fr/video/iLyROoaf2ca2.html
le jeudi à 21h30 sur France 5
Dernière édition par yvvan le Sam 26 Nov 2011 - 12:25, édité 1 fois (Raison : renommage titre)
admin- Messages : 1533
Date d'inscription : 13/06/2011
Re: à la télé...et à la radio
Autant j'aime beaucoup l'ancienne version de cette émission autant la nouvelle me gonfle.
J'aime pas cette nouvelle mode de l'animateur omniprésent à l'antenne et qui veut tout faire..
Il croise un pécheur sur son bateau... il monte sur le bateau et il péche,
Un gars qui plante des légumes... il plante des légumes..
Exct...
Dans " J'irai dormir chez vous " d'Antoine de Maximi, le sujet c'est Antoine seul qui va à la rencontre des gens, donc c'est normal, mais dans " Des Trains pas comme les autres " c'est le Train le sujet, pas l'animateur ...
PS: j'irai dormir à Hollywood lundi 31 Octobre 2011 à 20h35 sur France5 !!!
...
http://www.france5.fr/et-vous/France-5-et-vous/Les-programmes/LE-MAG-N-44-2011/articles/p-14254-J-irai-dormir-a-Hollywood.htm
...
A voir ABSOLUMENT !!!
J'aime pas cette nouvelle mode de l'animateur omniprésent à l'antenne et qui veut tout faire..
Il croise un pécheur sur son bateau... il monte sur le bateau et il péche,
Un gars qui plante des légumes... il plante des légumes..
Exct...
Dans " J'irai dormir chez vous " d'Antoine de Maximi, le sujet c'est Antoine seul qui va à la rencontre des gens, donc c'est normal, mais dans " Des Trains pas comme les autres " c'est le Train le sujet, pas l'animateur ...
PS: j'irai dormir à Hollywood lundi 31 Octobre 2011 à 20h35 sur France5 !!!
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http://www.france5.fr/et-vous/France-5-et-vous/Les-programmes/LE-MAG-N-44-2011/articles/p-14254-J-irai-dormir-a-Hollywood.htm
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A voir ABSOLUMENT !!!
Dernière édition par gigi69 le Ven 28 Oct 2011 - 19:27, édité 9 fois
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Et pis tient puisqu'il n'y à pas de sujet général sur la télé je poste ça ici...
Sur ARTE
jeudi 17 novembre 2011 à 00H55
Out of the Blue
De et avec Dennis Hopper, ( Mon Acteur Préféré...) un chef-d'oeuvre rare, punk et dévastateur
Dix ans après la chevauchée sauvage d'“Easy Rider”, Dennis Hopper dépeint dans “Out of the blue” les douloureuses désillusions hippies. Constat amer d'un quadragénaire, à l'époque, aussi maudit que son film. Il est temps de le (re)découvrir.
A partir de motifs chers à la vague rock'n roll : alcool - fugue - drogue, Dennis Hopper livre avec ce film familial une toile désenchantée d'une Amérique furieuse de rêve et de liberté. Mais en usant ces obsessions sixties jusqu'à la moëlle, le film révèle la part d'ombre de ces fantasmes dans une mise en scène haletante, nerveuse, composée de plans longs qui donne au specateur un sentiment ambivalent d'ivresse et de mélancolie, encore renforcé par la bande son lancinante de Neil Young.
Linda Manz, prise en éteau entre un père alcoolique (Dennis Hopper) et une mère frivole (Sharon Farrel), compose un magnifique personnage d'adolescente, tourmentée, têtue, impertinente. Out of the blue nous arrive tout droit de la fin des années 70, enchanté par cet esprit du temps qui nous fait penser à Zabriskie Point (Michelangelo Antonioni) et aux films de John Cassavets, Jerry Schatzberg ou Bob Rafelson.
Sur ARTE
jeudi 17 novembre 2011 à 00H55
Out of the Blue
De et avec Dennis Hopper, ( Mon Acteur Préféré...) un chef-d'oeuvre rare, punk et dévastateur
Dix ans après la chevauchée sauvage d'“Easy Rider”, Dennis Hopper dépeint dans “Out of the blue” les douloureuses désillusions hippies. Constat amer d'un quadragénaire, à l'époque, aussi maudit que son film. Il est temps de le (re)découvrir.
A partir de motifs chers à la vague rock'n roll : alcool - fugue - drogue, Dennis Hopper livre avec ce film familial une toile désenchantée d'une Amérique furieuse de rêve et de liberté. Mais en usant ces obsessions sixties jusqu'à la moëlle, le film révèle la part d'ombre de ces fantasmes dans une mise en scène haletante, nerveuse, composée de plans longs qui donne au specateur un sentiment ambivalent d'ivresse et de mélancolie, encore renforcé par la bande son lancinante de Neil Young.
Linda Manz, prise en éteau entre un père alcoolique (Dennis Hopper) et une mère frivole (Sharon Farrel), compose un magnifique personnage d'adolescente, tourmentée, têtue, impertinente. Out of the blue nous arrive tout droit de la fin des années 70, enchanté par cet esprit du temps qui nous fait penser à Zabriskie Point (Michelangelo Antonioni) et aux films de John Cassavets, Jerry Schatzberg ou Bob Rafelson.
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
C'est cette nuit !
Quelques secondes avec Antoine Decaunes...
Dennis Hopper à propos de sa carrière et de son film "Out of the blue"
...
http://www.ina.fr/art-et-culture/cinema/video/I10012860/dennis-hopper-a-propos-de-sa-carriere-et-de-son-film-out-of-the-blue.fr.html
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Quelques secondes avec Antoine Decaunes...
Dennis Hopper à propos de sa carrière et de son film "Out of the blue"
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http://www.ina.fr/art-et-culture/cinema/video/I10012860/dennis-hopper-a-propos-de-sa-carriere-et-de-son-film-out-of-the-blue.fr.html
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Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
MAGNETO SERGE !!
Sinon heu...
On le trouve facilement sur le NET..
Je dis ça... je dis rien..
Sinon heu...
On le trouve facilement sur le NET..
Je dis ça... je dis rien..
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
... il est visible sur ARTE+7, encore 4 Jours !
...
http://videos.arte.tv/fr/videos/out_of_the_blue-4261104.html
...
La critique de Télérama
Il s'agit pourtant d'un film de toute beauté, puissamment désenchanté, comme pouvaient l'être en leur temps les films de Bob Rafelson (The King of Marvin Gardens) ou Jerry Schatzberg (L'Epouvantail), cousins germains de Hopper époque Nouvel Hollywood.
Out of the Blue s'intéresse à d'autres laissés pour compte du rêve américain, et précisément à une famille (dé)composée d'un pater familias à la dérive interprété par Dennis Hopper, Don, routier alcoolo qui vient de passer cinq ans en prison pour avoir défoncé le bus scolaire de son patelin avec son semi-remorque et réduit à presque néant la population en âge d'aller à l'école.
Sharon Farrell tient le rôle de l'épouse aimante, serveuse dans le snack du coin et accessoirement héroïnomane.
Balancée entre ces parents azimutés, il y a Cebe, jeune punkette en rébellion qui ne jure que par Elvis et Johnny Rotten, se passe les cheveux au cirage et s'habille avec le cuir de son père...
Elle est jouée avec rage par Linda Manz, la gamine qui faisait déjà des étincelles dans Les Moissons du ciel, de Terrence Malick.
Condamnée au surplace dans une société qui rejette les faibles, cette famille américaine s'autodétruit, sur la musique lancinante de Neil Young (les paroles de la sublime chanson Hey Hey My My ont donné son titre au film). No future pour les jeunes punk et les vieux hippies ! Rond comme une queue de pelle de la première à la dernière scène, Hopper a puisé dans sa propre expérience d'alcoolique pour composer son personnage de papa gâteau irresponsable et débordé par la vie.
Toutes ses tentatives pour raccrocher aux wagons de l'american way of life se soldent par un échec pathétique. Il organise un pique-nique sur la plage mais n'a que du pop corn et de la bière tiède à offrir. Il trouve un boulot à la décharge publique mais se fait virer au bout d'une semaine (très belle scène au milieu des immondices et des mouettes comme dans Guet-apens, de Peckinpah).
...........................
C'est un film pas facile, qui va pas plaire à tout le monde mais j'ai beaucoup aimé...
...
http://videos.arte.tv/fr/videos/out_of_the_blue-4261104.html
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La critique de Télérama
Il s'agit pourtant d'un film de toute beauté, puissamment désenchanté, comme pouvaient l'être en leur temps les films de Bob Rafelson (The King of Marvin Gardens) ou Jerry Schatzberg (L'Epouvantail), cousins germains de Hopper époque Nouvel Hollywood.
Out of the Blue s'intéresse à d'autres laissés pour compte du rêve américain, et précisément à une famille (dé)composée d'un pater familias à la dérive interprété par Dennis Hopper, Don, routier alcoolo qui vient de passer cinq ans en prison pour avoir défoncé le bus scolaire de son patelin avec son semi-remorque et réduit à presque néant la population en âge d'aller à l'école.
Sharon Farrell tient le rôle de l'épouse aimante, serveuse dans le snack du coin et accessoirement héroïnomane.
Balancée entre ces parents azimutés, il y a Cebe, jeune punkette en rébellion qui ne jure que par Elvis et Johnny Rotten, se passe les cheveux au cirage et s'habille avec le cuir de son père...
Elle est jouée avec rage par Linda Manz, la gamine qui faisait déjà des étincelles dans Les Moissons du ciel, de Terrence Malick.
Condamnée au surplace dans une société qui rejette les faibles, cette famille américaine s'autodétruit, sur la musique lancinante de Neil Young (les paroles de la sublime chanson Hey Hey My My ont donné son titre au film). No future pour les jeunes punk et les vieux hippies ! Rond comme une queue de pelle de la première à la dernière scène, Hopper a puisé dans sa propre expérience d'alcoolique pour composer son personnage de papa gâteau irresponsable et débordé par la vie.
Toutes ses tentatives pour raccrocher aux wagons de l'american way of life se soldent par un échec pathétique. Il organise un pique-nique sur la plage mais n'a que du pop corn et de la bière tiède à offrir. Il trouve un boulot à la décharge publique mais se fait virer au bout d'une semaine (très belle scène au milieu des immondices et des mouettes comme dans Guet-apens, de Peckinpah).
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C'est un film pas facile, qui va pas plaire à tout le monde mais j'ai beaucoup aimé...
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Voici une très bonne analyse de OUT OF THE BLUE
...
http://www.dvdclassik.com/Critiques/out-of-the-blue-hopper-dvd.htm
...
Lors de sa présentation au Festival de Cannes, Out of the Blue sembla marquer le grand retour de Dennis Hopper comme cinéaste.
Malheureusement, aux Etats-Unis, le film provoqua scandale et incompréhension au grand dam de son auteur qui ne cherchait pas tant à choquer qu’à coller (une fois de plus) à son époque.
En Angleterre, le film mit plus de deux ans à être distribué et il fut charcuté : de nombreux plans séquences ont été coupés, comme celui où l’on surprend Katie en train de se piquer dans les toilettes. Les Anglais purent seulement le découvrir dans sa version originale en 1987, quand il fut diffusé sur Channel 4 au sein d’une série de dix films dits « interdits ».
C’est en France, sous le titre de Garçonne, qu’il remporta un vrai succès d’estime. Avec les années, grâce à son statut étrange, sa mise en scène de démolition, son final nihiliste et explosif, sa quasi invisibilité, son rapport à Neil Young et à la musique punk, Out of the Blue devint peu à peu « culte ».
...
http://www.dvdclassik.com/Critiques/out-of-the-blue-hopper-dvd.htm
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Lors de sa présentation au Festival de Cannes, Out of the Blue sembla marquer le grand retour de Dennis Hopper comme cinéaste.
Malheureusement, aux Etats-Unis, le film provoqua scandale et incompréhension au grand dam de son auteur qui ne cherchait pas tant à choquer qu’à coller (une fois de plus) à son époque.
En Angleterre, le film mit plus de deux ans à être distribué et il fut charcuté : de nombreux plans séquences ont été coupés, comme celui où l’on surprend Katie en train de se piquer dans les toilettes. Les Anglais purent seulement le découvrir dans sa version originale en 1987, quand il fut diffusé sur Channel 4 au sein d’une série de dix films dits « interdits ».
C’est en France, sous le titre de Garçonne, qu’il remporta un vrai succès d’estime. Avec les années, grâce à son statut étrange, sa mise en scène de démolition, son final nihiliste et explosif, sa quasi invisibilité, son rapport à Neil Young et à la musique punk, Out of the Blue devint peu à peu « culte ».
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Mardi 20 Décembre à 20H40 sur ARTE:
...With Buddy Guy !!!
Ça tombe bien je ne l'ai jamais vu...
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Ça tombe bien je ne l'ai jamais vu...
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
merci pour l'info Gigi
moi non plus, jamais vu
shi-shi-shi shine on ( a light)
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kidboss- Messages : 1324
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Album préféré : The River
Re: à la télé...et à la radio
Comme l'a dit JC ce soir il y a...
Memphis, Tennessee
La ville qui transforma le monde
Sur ARTE...
mais il y à aussi:
Retour sur la Beat Generation de Kerouac sur France 5 à 21H40
Dans l'Amérique prospère et conservatrice de l'après-guerre, un mouvement de poètes et d'écrivains anti-conformistes emmené par Jacques Kerouac pousse toute une génération à bousculer l'ordre établi. Porteur de tous les symboles de la rebellion, l'auteur de "Sur la route" était pourtant tout à fait conservateur. Le documentaire "Le Retour de la Beat Generation", proposé jeudi soir sur France 5, revient sans complaisance sur ce mouvement essentiel, à l'origine de la montée de la contre-culture des années 60.Dans les années 50, la Beat Generation fait souffler un vent de fronde sur la jeunesse, qui se découvre un appétit de liberté inextinguible. Tous les domaines sont touchés par ce désir de vivre sans entraves, du sexe à l'ordre social, en passant par la créativité, la façon de se vêtir, de penser, de rêver, de voyager et même de prier (avec l'intérêt pour le chamanisme et les philosophies orientales).
La Beat Generation rejetait le système
D'origine modeste, né dans une famille catholique d'agriculteurs, Kerouac est un des tout premiers à critiquer la surabondance de l'Amérique "pleine aux as" de l'après-guerre. Un des premiers à comprendre les écueils et les souffrances que peut entraîner l'hyper-matérialisme alors naissant.
"La Beat Generation voulait combattre le système, mais à sa façon", analyse un intervenant dans ce documentaire. "Ils essayaient d'échapper à ce guet-apens matérialiste pour trouver quelque chose d'autre, quelque chose de beau, de divin. Kerouac appelait à une vision béatifique - voir la face de Dieu."
Kerouac associé à tort au communisme
Ecrivain romantique épris de grands espaces et magnifiant les laissés pour compte de l'Amérique, Jacques Kerouac inaugure aussi un style syncopé inspiré du jazz et des pulsations des innovations be-bop. Il se fait connaître en pleine chasse aux sorcières communistes, l'époque du McCarthisme des années 50. Et la Beat Generation est très vite associée, à tort, au communisme. Un malentendu dû au terme "Beatnik", que Kerouac avait en horreur; tiré de Beat mais aussi de Spoutnik, associé à l'Urss et donc aux communistes, nous apprend ce documentaire.
Si elle a inspiré la révolte étudiante française de mai 68 et l'opposition à la guerre du Vietnam, qu'a laissé la Beat Generation en héritage ? Peter Fonda, réalisateur du film culte "Easy Rider", ou Elisabeth Guigou, qui dévorait à l'époque tous les romans "beat", sont quelques uns des intervenants à livrer leurs impressions dans ce documentaire ponctué d'images d'époque. Et si la Beat Generation avait finalement enfanté une génération perdue ?
Vidéo intégrale disponible jusqu’au jeudi 15 décembre 2011 à 21:44 ..
...
http://documentaires.france5.fr/documentaires/le-retour-de-la-beat-generation
...
Les bonus du doc:
...
http://documentaires.france5.fr/bonus-articles/article-de-france-5-776
...
Memphis, Tennessee
La ville qui transforma le monde
Sur ARTE...
mais il y à aussi:
Retour sur la Beat Generation de Kerouac sur France 5 à 21H40
Dans l'Amérique prospère et conservatrice de l'après-guerre, un mouvement de poètes et d'écrivains anti-conformistes emmené par Jacques Kerouac pousse toute une génération à bousculer l'ordre établi. Porteur de tous les symboles de la rebellion, l'auteur de "Sur la route" était pourtant tout à fait conservateur. Le documentaire "Le Retour de la Beat Generation", proposé jeudi soir sur France 5, revient sans complaisance sur ce mouvement essentiel, à l'origine de la montée de la contre-culture des années 60.Dans les années 50, la Beat Generation fait souffler un vent de fronde sur la jeunesse, qui se découvre un appétit de liberté inextinguible. Tous les domaines sont touchés par ce désir de vivre sans entraves, du sexe à l'ordre social, en passant par la créativité, la façon de se vêtir, de penser, de rêver, de voyager et même de prier (avec l'intérêt pour le chamanisme et les philosophies orientales).
La Beat Generation rejetait le système
D'origine modeste, né dans une famille catholique d'agriculteurs, Kerouac est un des tout premiers à critiquer la surabondance de l'Amérique "pleine aux as" de l'après-guerre. Un des premiers à comprendre les écueils et les souffrances que peut entraîner l'hyper-matérialisme alors naissant.
"La Beat Generation voulait combattre le système, mais à sa façon", analyse un intervenant dans ce documentaire. "Ils essayaient d'échapper à ce guet-apens matérialiste pour trouver quelque chose d'autre, quelque chose de beau, de divin. Kerouac appelait à une vision béatifique - voir la face de Dieu."
Kerouac associé à tort au communisme
Ecrivain romantique épris de grands espaces et magnifiant les laissés pour compte de l'Amérique, Jacques Kerouac inaugure aussi un style syncopé inspiré du jazz et des pulsations des innovations be-bop. Il se fait connaître en pleine chasse aux sorcières communistes, l'époque du McCarthisme des années 50. Et la Beat Generation est très vite associée, à tort, au communisme. Un malentendu dû au terme "Beatnik", que Kerouac avait en horreur; tiré de Beat mais aussi de Spoutnik, associé à l'Urss et donc aux communistes, nous apprend ce documentaire.
Si elle a inspiré la révolte étudiante française de mai 68 et l'opposition à la guerre du Vietnam, qu'a laissé la Beat Generation en héritage ? Peter Fonda, réalisateur du film culte "Easy Rider", ou Elisabeth Guigou, qui dévorait à l'époque tous les romans "beat", sont quelques uns des intervenants à livrer leurs impressions dans ce documentaire ponctué d'images d'époque. Et si la Beat Generation avait finalement enfanté une génération perdue ?
Vidéo intégrale disponible jusqu’au jeudi 15 décembre 2011 à 21:44 ..
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http://documentaires.france5.fr/documentaires/le-retour-de-la-beat-generation
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Les bonus du doc:
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http://documentaires.france5.fr/bonus-articles/article-de-france-5-776
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Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Je viens d'entendre un très beau titre de Bruce dans le final d' un épisode des experts sur TF1
...
http://www.lesexpertsmanhattan.fr/episodes.php?idepisode=874
...
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http://www.lesexpertsmanhattan.fr/episodes.php?idepisode=874
...
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
superbe version , merci gigigigi69 a écrit:
kidboss- Messages : 1324
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Age : 56
Localisation : 22 Bretagne
Album préféré : The River
Re: à la télé...et à la radio
J'ai vraiment bien aimé ce documentaire sur la Photographie et le Rock..
Hier soir sur ARTE !
...
http://www.arte.tv/fr/La-photographie-et-le-rock/6730368.html
...
Les photographes racontent comment ils ont pris les photos des plus célèbres pochette de disque de Rock:
Comme la couverture de l’album London calling des Clash, on voit le bassiste Paul Simonon démolir sa guitare pendant un concert. Cette photo de Pennie Smith dégage une énergie impressionnante.
Il est rediffusé le :
mercredi, 27 juin 2012 à 03:00
Et le:
06.Juillet.2012 à 05:00
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Bon, j'espère au moins qu'ici on ne me reprochera pas de parler des programmes TV..?
donc...
Réservez votre soirée du :
Dimanche 26 août 2012 à partir de 20H35 sur ARTE.
Il y en aura pour tous les goûts !!!
...
http://www.arte.tv/fr/Music-Rebels/6726334,CmC=6739268.html
...
Lennon, NYC à 20H40
Documentaire de Michael Epstein (États-Unis, 2010, 115 minutes).
John Lennon, période New York. Dans les années 1970, peu après la dissolution des Beatles, le chanteur se consacre tout autant à la musique – c’est l’époque de l’album Imagine – qu’à son engagement politique. Un film intimiste, avec un long entretien de Yoko Ono.
Expérience Jimi Hendrix à 22H30
Documentaire de Christian Wagner (Allemagne, 2010, 52 minutes).
Pour le quarantième anniversaire de sa mort, une évocation du guitariste de génie et de sa légende.
Le 18 septembre 1970, il y a quarante ans, Jimi Hendrix mourait d’une overdose à l’âge de 27 ans. Il reste à ce jour le plus grand guitariste de l’histoire du rock. Personne n’aura autant que lui libéré l’instrument roi de la scène, autant exploré ses possibilités de jeu. La créativité d’Hendrix et ses expérimentations sonores continuent d’inspirer les guitaristes en devenir et de susciter une immense ferveur.
C’est au milieu des années 1960 que ce guitariste autodidacte, natif de Seattle, accède au rang de pop-star avec sa version de la chanson Hey Joe. Le Swinging London offre alors au rock avant-gardiste un terreau bien plus fertile que l’Amérique divisée par la ségrégation. Des groupes comme The Cream caracolent en tête des ventes avec leur répertoire mâtiné de blues. Deux vétérans du rock british, Chas Chandler et Mike Jeffries, respectivement ex-membre et ex-manager de The Animals, prennent Jimi Hendrix sous leur aile.
Le guitariste afro-américain fait figure d’ovni au sein de la scène pop anglaise. Tout en lui fascine : son style, son charisme sur scène, sa façon de s’habiller. Sa virtuosité et son assurance effraient les autres musiciens, dont les audaces artistiques se voient soudain sérieusement relativisées. Hors du feu des projecteurs, en revanche, le prodige de la scène paraît presque timide.
Les tournées qui s’enchaînent à un rythme effréné pendant trois ans et demi lui coûteront la vie. Un soir de septembre 1970, il s’endort après avoir pris un mélange d’alcool et de médicaments et ne se réveille pas. Cette mort brutale, qui interrompt une carrière éclair, le fait entrer dans la légende. La comète Hendrix brille toujours.
Pink Floyd – Behind the wall à 23H20
Documentaire de Sonia Anderson (Royaume-Uni, 2011, 75 minutes).
À l’occasion des trente ans du film The wall, retour sur l’histoire des Pink Floyd, entre LSD et musique planante. Un bijou truffé d’images inédites et d’interviews des membres du groupe jamais diffusées auparavant, qui met l’accent sur les débuts des Floyds, avant le départ de Syd Barrett.
The Who: " Tommy " Film de Ken Russell(Royaume-Uni, 1975, 105 minutes). à 00H35
Le premier, le seul, l’unique opéra rock jamais réalisé : Ken Russell adapte le chef-d’œuvre des Who avec force effets spéciaux, délires kitsch et outrances en tout genre. Tina Turner, Elton John, Eric Clapton et Jack Nicholson sont du voyage. "Barockissime" !
Le petit Tommy assiste au meurtre de son père (revenu de la guerre alors qu’il était porté disparu) par l’amant de sa mère. On lui ordonne de tout oublier : "Tu n’as rien vu, rien entendu !" Traumatisé, Tommy devient aveugle, sourd et muet. Replié dans son monde intérieur, l’enfant subit différentes initiations, entre les mains de personnages cruels et sans scrupules. Une gitane, reine de l’acide, veut même lui transformer la conscience grâce au trip psychédélique. Mais c’est en jouant au flipper que Tommy découvre enfin sa voie. Après avoir trouvé l’illumination et retrouvé l’usage de ses sens, il devient le nouveau Messie acclamé par les foules...
Oliver Reed en gentil organisateur de camp de vacances (Bernie’s holiday camp) puis en beau-père parricide ; Ann-Margret en mère indigne rongée par la culpabilité (1951) ; Eric Clapton en grand prêtre d’un culte voué à Marylin (Eyesight to the blind) ; Tina Turner en pute fatale et reine de l’acide (Acid queen) ; Keith Moon en vieux tonton alcoolo pervers (Fiddle about) ; Elton John en ex-champion de flipper (Pinball wizard) ; Jack Nicholson en éminent professeur spécialisé dans la poudre aux yeux (Go to the mirror)... autant de stars désaxées, autant de clips déjantés !
Ce film musical composé d’une trentaine de chansons enchaîne sans temps mort de purs moments de délires visuels et décadents. Si l’album des Who, sorti en 1969, était un modèle inouï de ritournelles rock et de messages névrotiques, le Tommy de Ken Russell est une succession de débauches, une avalanche de chromos, une orgie de trucages. L’outrance et le kitsch (la messe au whisky, la télé qui vomit des fayots) alliés aux thèmes générationnels (le blitz, les gourous, le speed) font de cette aventure pop et spirituelle un immense éclat de rire – parfois cauchemardesque – traversé par la voix et le visage romantiques de l’ange aux boucles blondes, Roger Daltrey, qui incarne désormais pour l’éternité l’enfant martyr de See me, feel me.
Voilà voilà...
Pas taper, merci ...
donc...
Réservez votre soirée du :
Dimanche 26 août 2012 à partir de 20H35 sur ARTE.
Il y en aura pour tous les goûts !!!
...
http://www.arte.tv/fr/Music-Rebels/6726334,CmC=6739268.html
...
Lennon, NYC à 20H40
Documentaire de Michael Epstein (États-Unis, 2010, 115 minutes).
John Lennon, période New York. Dans les années 1970, peu après la dissolution des Beatles, le chanteur se consacre tout autant à la musique – c’est l’époque de l’album Imagine – qu’à son engagement politique. Un film intimiste, avec un long entretien de Yoko Ono.
Expérience Jimi Hendrix à 22H30
Documentaire de Christian Wagner (Allemagne, 2010, 52 minutes).
Pour le quarantième anniversaire de sa mort, une évocation du guitariste de génie et de sa légende.
Le 18 septembre 1970, il y a quarante ans, Jimi Hendrix mourait d’une overdose à l’âge de 27 ans. Il reste à ce jour le plus grand guitariste de l’histoire du rock. Personne n’aura autant que lui libéré l’instrument roi de la scène, autant exploré ses possibilités de jeu. La créativité d’Hendrix et ses expérimentations sonores continuent d’inspirer les guitaristes en devenir et de susciter une immense ferveur.
C’est au milieu des années 1960 que ce guitariste autodidacte, natif de Seattle, accède au rang de pop-star avec sa version de la chanson Hey Joe. Le Swinging London offre alors au rock avant-gardiste un terreau bien plus fertile que l’Amérique divisée par la ségrégation. Des groupes comme The Cream caracolent en tête des ventes avec leur répertoire mâtiné de blues. Deux vétérans du rock british, Chas Chandler et Mike Jeffries, respectivement ex-membre et ex-manager de The Animals, prennent Jimi Hendrix sous leur aile.
Le guitariste afro-américain fait figure d’ovni au sein de la scène pop anglaise. Tout en lui fascine : son style, son charisme sur scène, sa façon de s’habiller. Sa virtuosité et son assurance effraient les autres musiciens, dont les audaces artistiques se voient soudain sérieusement relativisées. Hors du feu des projecteurs, en revanche, le prodige de la scène paraît presque timide.
Les tournées qui s’enchaînent à un rythme effréné pendant trois ans et demi lui coûteront la vie. Un soir de septembre 1970, il s’endort après avoir pris un mélange d’alcool et de médicaments et ne se réveille pas. Cette mort brutale, qui interrompt une carrière éclair, le fait entrer dans la légende. La comète Hendrix brille toujours.
Pink Floyd – Behind the wall à 23H20
Documentaire de Sonia Anderson (Royaume-Uni, 2011, 75 minutes).
À l’occasion des trente ans du film The wall, retour sur l’histoire des Pink Floyd, entre LSD et musique planante. Un bijou truffé d’images inédites et d’interviews des membres du groupe jamais diffusées auparavant, qui met l’accent sur les débuts des Floyds, avant le départ de Syd Barrett.
The Who: " Tommy " Film de Ken Russell(Royaume-Uni, 1975, 105 minutes). à 00H35
Le premier, le seul, l’unique opéra rock jamais réalisé : Ken Russell adapte le chef-d’œuvre des Who avec force effets spéciaux, délires kitsch et outrances en tout genre. Tina Turner, Elton John, Eric Clapton et Jack Nicholson sont du voyage. "Barockissime" !
Le petit Tommy assiste au meurtre de son père (revenu de la guerre alors qu’il était porté disparu) par l’amant de sa mère. On lui ordonne de tout oublier : "Tu n’as rien vu, rien entendu !" Traumatisé, Tommy devient aveugle, sourd et muet. Replié dans son monde intérieur, l’enfant subit différentes initiations, entre les mains de personnages cruels et sans scrupules. Une gitane, reine de l’acide, veut même lui transformer la conscience grâce au trip psychédélique. Mais c’est en jouant au flipper que Tommy découvre enfin sa voie. Après avoir trouvé l’illumination et retrouvé l’usage de ses sens, il devient le nouveau Messie acclamé par les foules...
Oliver Reed en gentil organisateur de camp de vacances (Bernie’s holiday camp) puis en beau-père parricide ; Ann-Margret en mère indigne rongée par la culpabilité (1951) ; Eric Clapton en grand prêtre d’un culte voué à Marylin (Eyesight to the blind) ; Tina Turner en pute fatale et reine de l’acide (Acid queen) ; Keith Moon en vieux tonton alcoolo pervers (Fiddle about) ; Elton John en ex-champion de flipper (Pinball wizard) ; Jack Nicholson en éminent professeur spécialisé dans la poudre aux yeux (Go to the mirror)... autant de stars désaxées, autant de clips déjantés !
Ce film musical composé d’une trentaine de chansons enchaîne sans temps mort de purs moments de délires visuels et décadents. Si l’album des Who, sorti en 1969, était un modèle inouï de ritournelles rock et de messages névrotiques, le Tommy de Ken Russell est une succession de débauches, une avalanche de chromos, une orgie de trucages. L’outrance et le kitsch (la messe au whisky, la télé qui vomit des fayots) alliés aux thèmes générationnels (le blitz, les gourous, le speed) font de cette aventure pop et spirituelle un immense éclat de rire – parfois cauchemardesque – traversé par la voix et le visage romantiques de l’ange aux boucles blondes, Roger Daltrey, qui incarne désormais pour l’éternité l’enfant martyr de See me, feel me.
Voilà voilà...
Pas taper, merci ...
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
MERCI pour le programme, Bonne soirée en perspective ca va nous changer de la daube télévisuelle estivale
francesca- Messages : 61
Date d'inscription : 03/12/2011
Age : 45
Localisation : Corse
Album préféré : Darkness On The Edge Of Town
Re: à la télé...et à la radio
gigi69 a écrit:
Réservez votre soirée du :
Dimanche 26 août 2012 à partir de 20H35 sur ARTE.
Il y en aura pour tous les goûts !!!
...
http://www.arte.tv/fr/Music-Rebels/6726334,CmC=6739268.html
...
Lennon, NYC à 20H40
Documentaire de Michael Epstein (États-Unis, 2010, 115 minutes).
John Lennon, période New York. Dans les années 1970, peu après la dissolution des Beatles, le chanteur se consacre tout autant à la musique – c’est l’époque de l’album Imagine – qu’à son engagement politique. Un film intimiste, avec un long entretien de Yoko Ono.
Expérience Jimi Hendrix à 22H30
Documentaire de Christian Wagner (Allemagne, 2010, 52 minutes).
Pour le quarantième anniversaire de sa mort, une évocation du guitariste de génie et de sa légende.
Le 18 septembre 1970, il y a quarante ans, Jimi Hendrix mourait d’une overdose à l’âge de 27 ans. Il reste à ce jour le plus grand guitariste de l’histoire du rock. Personne n’aura autant que lui libéré l’instrument roi de la scène, autant exploré ses possibilités de jeu. La créativité d’Hendrix et ses expérimentations sonores continuent d’inspirer les guitaristes en devenir et de susciter une immense ferveur.
C’est au milieu des années 1960 que ce guitariste autodidacte, natif de Seattle, accède au rang de pop-star avec sa version de la chanson Hey Joe. Le Swinging London offre alors au rock avant-gardiste un terreau bien plus fertile que l’Amérique divisée par la ségrégation. Des groupes comme The Cream caracolent en tête des ventes avec leur répertoire mâtiné de blues. Deux vétérans du rock british, Chas Chandler et Mike Jeffries, respectivement ex-membre et ex-manager de The Animals, prennent Jimi Hendrix sous leur aile.
Le guitariste afro-américain fait figure d’ovni au sein de la scène pop anglaise. Tout en lui fascine : son style, son charisme sur scène, sa façon de s’habiller. Sa virtuosité et son assurance effraient les autres musiciens, dont les audaces artistiques se voient soudain sérieusement relativisées. Hors du feu des projecteurs, en revanche, le prodige de la scène paraît presque timide.
Les tournées qui s’enchaînent à un rythme effréné pendant trois ans et demi lui coûteront la vie. Un soir de septembre 1970, il s’endort après avoir pris un mélange d’alcool et de médicaments et ne se réveille pas. Cette mort brutale, qui interrompt une carrière éclair, le fait entrer dans la légende. La comète Hendrix brille toujours.
Pink Floyd – Behind the wall à 23H20
Documentaire de Sonia Anderson (Royaume-Uni, 2011, 75 minutes).
À l’occasion des trente ans du film The wall, retour sur l’histoire des Pink Floyd, entre LSD et musique planante. Un bijou truffé d’images inédites et d’interviews des membres du groupe jamais diffusées auparavant, qui met l’accent sur les débuts des Floyds, avant le départ de Syd Barrett.
The Who: " Tommy " Film de Ken Russell(Royaume-Uni, 1975, 105 minutes). à 00H35
Le premier, le seul, l’unique opéra rock jamais réalisé : Ken Russell adapte le chef-d’œuvre des Who avec force effets spéciaux, délires kitsch et outrances en tout genre. Tina Turner, Elton John, Eric Clapton et Jack Nicholson sont du voyage. "Barockissime" !
Le petit Tommy assiste au meurtre de son père (revenu de la guerre alors qu’il était porté disparu) par l’amant de sa mère. On lui ordonne de tout oublier : "Tu n’as rien vu, rien entendu !" Traumatisé, Tommy devient aveugle, sourd et muet. Replié dans son monde intérieur, l’enfant subit différentes initiations, entre les mains de personnages cruels et sans scrupules. Une gitane, reine de l’acide, veut même lui transformer la conscience grâce au trip psychédélique. Mais c’est en jouant au flipper que Tommy découvre enfin sa voie. Après avoir trouvé l’illumination et retrouvé l’usage de ses sens, il devient le nouveau Messie acclamé par les foules...
Oliver Reed en gentil organisateur de camp de vacances (Bernie’s holiday camp) puis en beau-père parricide ; Ann-Margret en mère indigne rongée par la culpabilité (1951) ; Eric Clapton en grand prêtre d’un culte voué à Marylin (Eyesight to the blind) ; Tina Turner en pute fatale et reine de l’acide (Acid queen) ; Keith Moon en vieux tonton alcoolo pervers (Fiddle about) ; Elton John en ex-champion de flipper (Pinball wizard) ; Jack Nicholson en éminent professeur spécialisé dans la poudre aux yeux (Go to the mirror)... autant de stars désaxées, autant de clips déjantés !
Ce film musical composé d’une trentaine de chansons enchaîne sans temps mort de purs moments de délires visuels et décadents. Si l’album des Who, sorti en 1969, était un modèle inouï de ritournelles rock et de messages névrotiques, le Tommy de Ken Russell est une succession de débauches, une avalanche de chromos, une orgie de trucages. L’outrance et le kitsch (la messe au whisky, la télé qui vomit des fayots) alliés aux thèmes générationnels (le blitz, les gourous, le speed) font de cette aventure pop et spirituelle un immense éclat de rire – parfois cauchemardesque – traversé par la voix et le visage romantiques de l’ange aux boucles blondes, Roger Daltrey, qui incarne désormais pour l’éternité l’enfant martyr de See me, feel me.
Et évidemment le même soir à la même heure sur France Ô...
James Brown - Live at Montreux Dim 26 à 22h30 sur France Ô
Au début des années 80, James Brown effectue un come-back grandiose. Fougueux et explosif, le chanteur conduit son orchestre d'une main de maître dans ce live qui constitue un best of de ses meilleurs titres.
A noter deux performances d'anthologie, une version de «It's A Man's, Man's, Man's World» de 17 minutes et une version époustouflante de «Sex Machine».
A ne pas louper aussi....
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Ann Margret est sensass ! il faut absolument voir cette merveille dans l'amour en 4eme vitesse avec elvis !
santig du- Messages : 288
Date d'inscription : 30/07/2012
Album préféré : The Rising
Re: à la télé...et à la radio
le problème sur arte, c'est arte ! Les sujets sont toujours bons, mais leur façon de les présenter sont toujours d'un ennui sans nom ! J'avais enregistré le reportage sur Lennon, j'ai pas tenu 10mn
Re: à la télé...et à la radio
vendredi, 11 janvier 2013 à 02:35 ( Cette nuit quoi...)
Sur ARTE ...(Pas de rediffusion)
Mêlant images rares et interviews, un portrait sans complaisance du leader des Clash, légende du rock et témoin de notre temps.
Lorsque Joe Strummer disparaît le 22 décembre 2002 à l'âge de 50 ans, la scène rock perd une de ses figures emblématiques. Julien Temple (La grande escroquerie du rock 'n' roll, Absolute beginners, Sex Pistols : l'obscénité et la fureur) a côtoyé Joe Strummer aussi bien lors de la période flamboyante des Clash que dans sa "traversée du désert" entre 1985 et 1999. Joe Strummer : the future is unwritten offre des documents exceptionnels sur son enfance et adolescence, des archives rares sur The 101'ers et The Clash, des images - pour beaucoup inédites - de Joe dans sa retraite et lors de son retour sur scène, ponctués par des extraits de l'émission qu'il animait sur BBC World Service. Son histoire nous est aussi contée au travers des témoignages de sa famille, de ses amis, d'ex-membres des Clash, de personnalités du rock et du cinéma (Bono, Steve Jones, Jim Jarmush, Martin Scorsese, Johnny Depp...). Joe Strummer y est décrit non seulement comme une icône rock leader du protest punk des années Thatcher, mais aussi comme un humaniste, véritable témoin de notre temps.
Sur ARTE ...(Pas de rediffusion)
Mêlant images rares et interviews, un portrait sans complaisance du leader des Clash, légende du rock et témoin de notre temps.
Lorsque Joe Strummer disparaît le 22 décembre 2002 à l'âge de 50 ans, la scène rock perd une de ses figures emblématiques. Julien Temple (La grande escroquerie du rock 'n' roll, Absolute beginners, Sex Pistols : l'obscénité et la fureur) a côtoyé Joe Strummer aussi bien lors de la période flamboyante des Clash que dans sa "traversée du désert" entre 1985 et 1999. Joe Strummer : the future is unwritten offre des documents exceptionnels sur son enfance et adolescence, des archives rares sur The 101'ers et The Clash, des images - pour beaucoup inédites - de Joe dans sa retraite et lors de son retour sur scène, ponctués par des extraits de l'émission qu'il animait sur BBC World Service. Son histoire nous est aussi contée au travers des témoignages de sa famille, de ses amis, d'ex-membres des Clash, de personnalités du rock et du cinéma (Bono, Steve Jones, Jim Jarmush, Martin Scorsese, Johnny Depp...). Joe Strummer y est décrit non seulement comme une icône rock leader du protest punk des années Thatcher, mais aussi comme un humaniste, véritable témoin de notre temps.
Invité- Invité
Re: à la télé...et à la radio
Apparemment, Antoine de Caunes serait le nouveau présentateur du Grand Journal l'année prochaine. Une chance de voir Bruce sur Canal?
(si on peut appeler ça une chance pour Bruce de passer au Grand Journal...)
(si on peut appeler ça une chance pour Bruce de passer au Grand Journal...)
L'orignal- Messages : 163
Date d'inscription : 19/12/2011
Localisation : 44
Re: à la télé...et à la radio
J'ai appris ça dans TPMP il y a quelques minutes, ils faisaient un peu la tronche sur le plateau, à mon avis les audiences vont s'en ressentir sur les autres chaînes, tout au moins au début...
Faudra pas s'attendre au retour de NPA, avec des déguisements avec José Garcia, Albert Algoud et ses infirmières sexy, François François, etc...
Mais cela dit, entre Michel Denisot et Antoine DeCaunes, il n'y a pas photo.
DeCaunes est - outre Springsteen - passionné de musique de différents styles d'ailleurs, et notamment américaine, quand on pense aux invités musicaux à l'époque de NPA. Passionné de cinéma évidemment, et pour les invités politiques, il est suffisamment intelligent pour être neutre sans pour autant passer à côté de questions pertinentes. Et puis avec Gildas il a eu un excellent professeur. Ce sera différent de NPA, mais aussi du Grand Journal actuel.
Et puis il saura s'entourer, que du positif de tout ça à mon avis. Ça va être intéressant à suivre son arrivée à la rentrée !
Faudra pas s'attendre au retour de NPA, avec des déguisements avec José Garcia, Albert Algoud et ses infirmières sexy, François François, etc...
Mais cela dit, entre Michel Denisot et Antoine DeCaunes, il n'y a pas photo.
DeCaunes est - outre Springsteen - passionné de musique de différents styles d'ailleurs, et notamment américaine, quand on pense aux invités musicaux à l'époque de NPA. Passionné de cinéma évidemment, et pour les invités politiques, il est suffisamment intelligent pour être neutre sans pour autant passer à côté de questions pertinentes. Et puis avec Gildas il a eu un excellent professeur. Ce sera différent de NPA, mais aussi du Grand Journal actuel.
Et puis il saura s'entourer, que du positif de tout ça à mon avis. Ça va être intéressant à suivre son arrivée à la rentrée !
JC- Messages : 2933
Date d'inscription : 14/06/2011
Age : 51
Localisation : Quelquepart entre Woodstock, Asbury Park, Haight Ashbury, Detroit, Muscle Shoals & Memphis...
Album préféré : The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
Re: à la télé...et à la radio
oui oui tout çà, sauf que je trouve la "nouvelle nouvelle nouvelle" formule du grand journal aussi imprécise et floue que le jeux de Federer ces jours ci.JC a écrit:J'ai appris ça dans TPMP il y a quelques minutes, ils faisaient un peu la tronche sur le plateau, à mon avis les audiences vont s'en ressentir sur les autres chaînes, tout au moins au début...
Faudra pas s'attendre au retour de NPA, avec des déguisements avec José Garcia, Albert Algoud et ses infirmières sexy, François François, etc...
Mais cela dit, entre Michel Denisot et Antoine DeCaunes, il n'y a pas photo.
DeCaunes est - outre Springsteen - passionné de musique de différents styles d'ailleurs, et notamment américaine, quand on pense aux invités musicaux à l'époque de NPA. Passionné de cinéma évidemment, et pour les invités politiques, il est suffisamment intelligent pour être neutre sans pour autant passer à côté de questions pertinentes. Et puis avec Gildas il a eu un excellent professeur. Ce sera différent de NPA, mais aussi du Grand Journal actuel.
Et puis il saura s'entourer, que du positif de tout ça à mon avis. Ça va être intéressant à suivre son arrivée à la rentrée !
Pas que ce soit une déception, car outre le capital sympathie dont AdC bénéficie pour "l'ensemble de son oeuvre", il n'arrive pas à mettre du tempo dans son espace. Malgré sa bonne volonté.
Plus tard peut être?
par contre je conseille à chacun de jeter un oeil sur l'accès prime time de Arte ces jours ci. la nouvelle saison de "Silex in the City", pastille animée et délirante de trois minutes vers 20h40 chaque jours.
Raffraichissant
CC Rider- Messages : 6876
Date d'inscription : 14/06/2011
Age : 104
Rock behind the wall
INEDIT !!!
Rock behind the wall : La guerre froide des concerts
samedi 09 novembre à 22h30 (52 min) sur ARTE !!!
En 1988, un an et demi avant la chute du Mur, Berlin-Est offre aux jeunes citoyens de la RDA des concerts dont ils ont toujours rêvé avec des artistes venus de l'Ouest, et pas des moindres : Bruce Springsteen, Depeche Mode, Joe Cocker, James Brown...
Le 19 juillet, Bruce Springsteen et le E Street Band se produisent devant 160 000 spectateurs au vélodrome de Weissensee. Le chanteur lit son discours en allemand parlant de l’espoir de "voir un jour tomber toutes les barrières".
La suite...
...
http://www.arte.tv/guide/fr/048241-000/rock-behind-the-wall
...
Arte+7: Du 09.11 au 16.11.2013
Rediffusion : dim 24.11 à 3h45
Rock behind the wall : La guerre froide des concerts
samedi 09 novembre à 22h30 (52 min) sur ARTE !!!
En 1988, un an et demi avant la chute du Mur, Berlin-Est offre aux jeunes citoyens de la RDA des concerts dont ils ont toujours rêvé avec des artistes venus de l'Ouest, et pas des moindres : Bruce Springsteen, Depeche Mode, Joe Cocker, James Brown...
Le 19 juillet, Bruce Springsteen et le E Street Band se produisent devant 160 000 spectateurs au vélodrome de Weissensee. Le chanteur lit son discours en allemand parlant de l’espoir de "voir un jour tomber toutes les barrières".
La suite...
...
http://www.arte.tv/guide/fr/048241-000/rock-behind-the-wall
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Arte+7: Du 09.11 au 16.11.2013
Rediffusion : dim 24.11 à 3h45
Dernière édition par Speakerine le Mer 6 Nov 2013 - 9:08, édité 2 fois
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