VENDEE GLOBE 2016 (VIRTUAL REGATTA)

turnpike a écrit:

Bon c'est pas tout çà mais on fait le tour du monde et le coin le plus difficile se trouve à moins de 1000 milles de l'arrivée  

the diver a écrit:de mon coté je suis au sprint avec Jeff45 et Amazing Journey , on va voir si mon choix d'aller chercher bonheur plus au Nord sera payant  , verdict dans 48 à 72 h .

Dans les années 1970, Alain Colas et Eric Tabarly se sont disputé les exploits sur toutes les mers du monde. Une rivalité qui a fait entrer la voile dans son ère moderne, technologique et médiatique.

Ils ont affronté les mêmes mers, essuyé les mêmes tempêtes, partagé la même solitude. Si leur passion commune pour le grand large les a fait se rencontrer, elle n’a pas permis à Eric Tabarly et Alain Colas de se comprendre. Trop de différences les séparent. L’un fait de la voile depuis sa plus tendre enfance, alors que l’autre l’a fantasmé dans ses lectures de jeunesse. Tabarly est discret et taciturne ; Colas, prolixe et lyrique. Pourtant, le Breton a tout appris au Nivernais. « Beaucoup d’équipiers ont d’abord été fascinés par le savoir-faire technique de Tabarly, souligne son biographe Benoît Heimermann. Je crois que c’est ce qui intéressait Colas, qui était également attiré par l’aura, le charisme, le fait qu’il avait sa place dans la société, dans les médias… » Nommé chevalier de la Légion d’honneur après sa victoire dans la Transat anglaise en 1964, Eric Tabarly est devenu en quelques jours un modèle de courage. Une fierté nationale que l’élève Colas, admiratif, cherche bientôt à dépasser. Après avoir pulvérisé le record de la course qui fit connaître son maître, il se lance dans un tour du monde en solitaire, à bord du Pen Duick IV de Tabarly, rebaptisé Manureva. Une première en multicoque ! Pour les journalistes de l’époque, ce jeune passionné volubile est une aubaine, comme l’explique Benoît ­Heimermann : « Les médias étaient trop heureux d’avoir deux frères ennemis à se mettre sous la dent. » Le combat fratricide aura lieu en 1976 lors de la Transat anglaise, sur des eaux déchaînées. A l’arrivée, Colas et son démesuré Club Méditerranée, un quatre-mâts de 72 mètres de long à la pointe de la technologie, s’incline face à Tabarly, seul à la barre de Pen Duick VI, un voilier conçu pour une quinzaine d’hommes. Deux années plus tard, c’est face à la mer qu’Alain Colas et Manureva perdent le combat…

the diver a écrit:

dans tous les cas , je n'ai jamais vécu un VR aussi passionnant malgré que l'on soit  moins nombreux que les éditions précédentes mais y'a eu de la bagarre à tous les étages !

the diver a écrit:
pour info le vainqueur australien passait 6h par jour sur VR et il mettait son réveil toutes les nuits à 2h30 au grand désespoir de sa femme !

the diver a écrit:merci François pour le partage de ce documentaire , je viens de finir de le regarder , superbe !
sacré caractère de cochon ces marins !

turnpike a écrit:BRAVO TRANSPIRATOR !

A n'en pas douter, le boss du LOHAD team

A l'heure qu'il est, je sais toujours pas qui sera second...

turnpike a écrit:Ca va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer ça va passer

Bulossien fait silence radio...

Les dés sont jetés.