The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
+2
jungleland
TOF
6 participants
Page 1 sur 1
The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
Au tour du second opus de la discographie de passer à la moulinette : Comment l’avez vous découvert ?
Je dois bien avouer que cet album sorti 8 mois après Greatings, n’est évidement pas parvenu dans ma Discothèque le jour de sa publication.
Tout comme le premier ce fut donc des années après que j’ai découvert ce recueil de 7 titres.
Quant exactement je ne saurais pas trop le dire.
J’étais toujours ambiancé cheveux long et blouson en cuir …. ça c’est sur … mais quand ?
La mémoire fait défaut ! Je dirais entre 1984 et 1988.
Je me souviens que je n’ai jamais vraiment aimé cette pochette, qui ne raconte rien, du moins à mes yeux. Même si Le Boss n’a pas forcement toujours été un pro du marketing pochette mise à part quelques exceptions.
Ce que je me souviens par contre c’est autant j’avais bien aimé quelques titres du premier .. autant celui là … je ne l’ai écouté qu’une seule fois à l’époque.
Rien ne m’avait spécialement attiré le tympan … mis à part 4th of July, Asbury Park (Sandy) … et encore faut rendre à César ce qui lui appartient.
En fait, on doit être entre Tunel Of Love et Human Touch, c’est mon pote que je venais de convertir au Boss qui a débarqué comme une fusée chez moi et qui m’a fait découvrir en vrai ce titre … on se le passait en boucle, car à l’époque il était tombé amoureux raide dingue d’une Sandrine !!! Et on chantait dans sa 104 Hoooooo Sandyyyy (et dans un anglais ultra phonique : the aurora is risin' behind us ... oui ultra phonique, car de mémoire y a avait pas les paroles sur celui là ? A vérifier sur la version de l'époque.
L’histoire d’amour de cette Sandy a fini comme ce disque chez moi … aux oubliettes.
Et pourtant, oui pourtant quant on regarde ce qui le compose, on se retrouve comme pour le premier, avec des titres que l’on rêve d’avoir en live.
Certains parleront de production, de son ou d’autres choses encore.
Ce sont devenus des classiques … mais pas au sens commercial du terme, des classiques juste pour nous, les Fans qui pre,ont chaque interprétation d'un de ces titres comme un cadeau.
Et aujourd’hui encore, alors que j’adore entendre l’intro d’un rosalita, j’avoue que je ne met jamais la version studio dans les oreilles. Seulement celles du live 75 qui prend une dimension surhumaine avec la présentation du groupe.
C’est peut être un tord.
Maintenant avec mes oreilles plus connaisseuses que lorsque j’avais 15-20 ans, je devrais remettre cet opus dans mon iPhone et le tester.
Oui tiens, c’est ce que je vais faire cette semaine.
Et j’aurais évidement une pensée émue pour la piste n°3.
Au tour du second opus de la discographie de passer à la moulinette : Comment l’avez vous découvert ?
Je dois bien avouer que cet album sorti 8 mois après Greatings, n’est évidement pas parvenu dans ma Discothèque le jour de sa publication.
Tout comme le premier ce fut donc des années après que j’ai découvert ce recueil de 7 titres.
Quant exactement je ne saurais pas trop le dire.
J’étais toujours ambiancé cheveux long et blouson en cuir …. ça c’est sur … mais quand ?
La mémoire fait défaut ! Je dirais entre 1984 et 1988.
Je me souviens que je n’ai jamais vraiment aimé cette pochette, qui ne raconte rien, du moins à mes yeux. Même si Le Boss n’a pas forcement toujours été un pro du marketing pochette mise à part quelques exceptions.
Ce que je me souviens par contre c’est autant j’avais bien aimé quelques titres du premier .. autant celui là … je ne l’ai écouté qu’une seule fois à l’époque.
Rien ne m’avait spécialement attiré le tympan … mis à part 4th of July, Asbury Park (Sandy) … et encore faut rendre à César ce qui lui appartient.
En fait, on doit être entre Tunel Of Love et Human Touch, c’est mon pote que je venais de convertir au Boss qui a débarqué comme une fusée chez moi et qui m’a fait découvrir en vrai ce titre … on se le passait en boucle, car à l’époque il était tombé amoureux raide dingue d’une Sandrine !!! Et on chantait dans sa 104 Hoooooo Sandyyyy (et dans un anglais ultra phonique : the aurora is risin' behind us ... oui ultra phonique, car de mémoire y a avait pas les paroles sur celui là ? A vérifier sur la version de l'époque.
L’histoire d’amour de cette Sandy a fini comme ce disque chez moi … aux oubliettes.
Et pourtant, oui pourtant quant on regarde ce qui le compose, on se retrouve comme pour le premier, avec des titres que l’on rêve d’avoir en live.
Certains parleront de production, de son ou d’autres choses encore.
Ce sont devenus des classiques … mais pas au sens commercial du terme, des classiques juste pour nous, les Fans qui pre,ont chaque interprétation d'un de ces titres comme un cadeau.
Et aujourd’hui encore, alors que j’adore entendre l’intro d’un rosalita, j’avoue que je ne met jamais la version studio dans les oreilles. Seulement celles du live 75 qui prend une dimension surhumaine avec la présentation du groupe.
C’est peut être un tord.
Maintenant avec mes oreilles plus connaisseuses que lorsque j’avais 15-20 ans, je devrais remettre cet opus dans mon iPhone et le tester.
Oui tiens, c’est ce que je vais faire cette semaine.
Et j’aurais évidement une pensée émue pour la piste n°3.
Re: The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
Pour moi c'est l'album le plus audacieux et réussi en terme de composition, et David Sancious n'y est certainement pas étranger. Entre le "brouillon" Greetings et le classicisme rock qui se dessine à partir de BTR, c'est là qu'on devine le plus les influences de la musique noire américaine et les inspirations presque jazzy parfois.
Des titres comme The E street shuffle, Kitty's back ou New York city serenade sont extrêmement fouillés et aboutis. Non pas que je n'aime pas les albums suivants, bien au contraire, mais il me semble que la recherche musicale est à son apogée dans The Wild. On peut évidemment regretter les aspects techniques de l'enregistrement mais c'était l'époque qui voulait ça.
Et puis il y a ce putain de Incident on 57th street, l'un des plus beaux titres de Springsteen, le truc qui te fait dresser les poils quelque soit la version !
Des titres comme The E street shuffle, Kitty's back ou New York city serenade sont extrêmement fouillés et aboutis. Non pas que je n'aime pas les albums suivants, bien au contraire, mais il me semble que la recherche musicale est à son apogée dans The Wild. On peut évidemment regretter les aspects techniques de l'enregistrement mais c'était l'époque qui voulait ça.
Et puis il y a ce putain de Incident on 57th street, l'un des plus beaux titres de Springsteen, le truc qui te fait dresser les poils quelque soit la version !
Re: The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
Cet album et le premier sont pour moi les derniers que j'ai appris à connaître une fois devenue fan (en 2010 ce qui reste très très récent). A la première écoute, je n'étais pas des masses enthousiaste, pas vraiment touchée par les morceaux. Mais à la seconde j'aimais nettement plus. Chaque fois que je les entends j'apprécie un peu plus. Surtout le second.
Mais je dois avouer que j'écoute peu les albums de Springsteen. En fait je n'écoute presque plus jamais de cd mais plutôt des playlist de musiques diverses sur un mode aléatoire, avec bien sûr des plages de Springsteen, mais en général j'y mets ses morceaux que je préfère et ce ne sont, pour le moment, pas les plages des deux premiers albums.
Mais je dois bien avouer que c'est bien plus, faute de les connaître qu'autre chose, que ces plages ne sont pas encore devenues mes préférées. Car ce qui m'apparait dans ces deux albums c'est un potentiel artistique énorme du bonhomme. Et à partir du troisième album, il a choisi sa voie, et ne la quittera plus vraiment, même s'il a ratissé très large ces dernières années.
C'est un peu comme si les morceaux de ces albums préfiguraient des morceaux dinosaures que finalement il n'a jamais écrits.
Je ne suis pas en train de dire que ce qu'il a écrit n'est pas dinosaure. Comment expliquer. Je pense que certains m'auront compris immédiatement, mais je risque de heurter d'autres parce que je n'arrive pas à exprimer clairement ce que je veux.
C'est un peu comme si cette musique de l'époque était plus sauvage, moins cadrée, et que de ce fait elle permettait de sortir des sentiers battus. Alors qu'ensuite il est entré dans un style musical bien plus ciblé, dans des registres plus connus, moins personnels. Il le dit lui-même, nombres de ses morceaux sont inspirés de groupes qui l'ont précédés. Alors que j'ai l'impression que dans les deux premiers albums, son inspiration était plus personnelle.
J'ai l'idée, qui n'est peut-être qu'une illusion, qu'il aurait pu apprivoiser ce genre d'inspiration personnelle, de manière à la rendre plus accessible sans devoir rejoindre des styles déjà existants.
Et donc l'autre extrême serait BITUSA où il est alors vraiment dans un cadre : les stades, le bandana, les biceps et le drapeau américain, qu'il ne quittera plus vraiment jusqu'à aujourd'hui. Je le préférais barbu, gringalet, sautillant, avec son gros bonnet à faire de l'impro sur scène. Ces aspects physiques étant finalement assez représentatifs du changement de style musical qu'il a opéré par la suite.
Et tout à coup je me demande si l'influence de Jon Landau n'y serait pas pour quelque chose. Tout comme celle de Morello actuellement qui le ramène à un peu plus de rock.
Mais je dois avouer que j'écoute peu les albums de Springsteen. En fait je n'écoute presque plus jamais de cd mais plutôt des playlist de musiques diverses sur un mode aléatoire, avec bien sûr des plages de Springsteen, mais en général j'y mets ses morceaux que je préfère et ce ne sont, pour le moment, pas les plages des deux premiers albums.
Mais je dois bien avouer que c'est bien plus, faute de les connaître qu'autre chose, que ces plages ne sont pas encore devenues mes préférées. Car ce qui m'apparait dans ces deux albums c'est un potentiel artistique énorme du bonhomme. Et à partir du troisième album, il a choisi sa voie, et ne la quittera plus vraiment, même s'il a ratissé très large ces dernières années.
C'est un peu comme si les morceaux de ces albums préfiguraient des morceaux dinosaures que finalement il n'a jamais écrits.
Je ne suis pas en train de dire que ce qu'il a écrit n'est pas dinosaure. Comment expliquer. Je pense que certains m'auront compris immédiatement, mais je risque de heurter d'autres parce que je n'arrive pas à exprimer clairement ce que je veux.
C'est un peu comme si cette musique de l'époque était plus sauvage, moins cadrée, et que de ce fait elle permettait de sortir des sentiers battus. Alors qu'ensuite il est entré dans un style musical bien plus ciblé, dans des registres plus connus, moins personnels. Il le dit lui-même, nombres de ses morceaux sont inspirés de groupes qui l'ont précédés. Alors que j'ai l'impression que dans les deux premiers albums, son inspiration était plus personnelle.
J'ai l'idée, qui n'est peut-être qu'une illusion, qu'il aurait pu apprivoiser ce genre d'inspiration personnelle, de manière à la rendre plus accessible sans devoir rejoindre des styles déjà existants.
Et donc l'autre extrême serait BITUSA où il est alors vraiment dans un cadre : les stades, le bandana, les biceps et le drapeau américain, qu'il ne quittera plus vraiment jusqu'à aujourd'hui. Je le préférais barbu, gringalet, sautillant, avec son gros bonnet à faire de l'impro sur scène. Ces aspects physiques étant finalement assez représentatifs du changement de style musical qu'il a opéré par la suite.
Et tout à coup je me demande si l'influence de Jon Landau n'y serait pas pour quelque chose. Tout comme celle de Morello actuellement qui le ramène à un peu plus de rock.
calispera- Messages : 1252
Date d'inscription : 14/06/2011
Localisation : Bruxelles
Re: The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
Comme Tof, impossible de me souvenir où je l'ai entendu la première fois, ni quand je l'ai acheté !
Ca commence bien !
Pourtant, j'ai une affection particulière pour cet album, non seulement parce qu'il comporte d'excellentes chansons, mais surtout parce que Springsteen a (il me semble) essayé un truc très sincère à ce moment-là, entre le disque du futur-Dylan et le disque du futur-du-rock-n-roll : un album de traine-savates, de poor-guys du boardwalk.
La photo de verso est explicite, et revendiquée.
(P....les mecs pieds-nus quand même !)
Cela donne un contenu à l'avenant, assez "libre", libéré des exigences : étonnant que Springsteen ait osé ce disque rétrospectivement. Où bien est-ce CBS qui a essayé de surfer sur la vague californienne en "repositionnant" notre Brucie ?
bref, quoi qu'il en soit, cet album a un atout incomparable à mon sens : il a du CHARME.
De belles chansons, de bons arrangements, des variations mélodiques, des incursions subtiles vers le jazz, le blues, le classique (le début au piano de NYC Sérenade : chef d'oeuvre), un peu d'esprit "latino". Un album melting-pot émouvant.
Un paradoxe personnel (je vais me faire dézinguer par le forum mais tant pis) : les deux chansons que j'aime le moins sur ce disque sont ses deux grands classiques : Sandy et Rosalita....PARDON
Sandy, parce que je trouve la musique mièvre, ça ne m'atteint pas (même si je sais que le texte est touchant)
Rosalita parce que cela fait trop "opéra-rock" pour moi : trop de variations, trop de bruit, trop de barouf. Je n'ai jamais réussi à me connecter à cette chanson. Etrange.
A contrario, j'adore absolument NyC Serenade et Kitty's Back : quelles pièces superbement torchées !
Mais, évidemment, c'est principalement dans des versions live que je repense à ces chansons. Elles ont pris au cours du temps une magnifique ampleur : je trouve d'ailleurs qu'elles sont ce que Springsteen joue de mieux sur scène aujourd'hui.
La version de NYC à Rome avec les violons....
Incident, à chaque fois, depuis 99 (souvenir je crois d'une version sur un boot du Rising tour....)
Kitty's back pareil (ma version récente préférée, chez Letterman en 2002)
The E Street shuffle sur cette tournée (excellent arrangement : je considère la version jouée avec "The Roots" chez Jimmy Fallon en 2012 comme la meilleur prestation de Bruce de ces 15 dernières années -avec l'émission chez Costello)
Bref, un album qui comporte quand même un sacré matériel, et qui est, à mon sens, la VRAIE carte postale du New Jersey et du passé du jeune Bruce Springsteen
Respect.
Ca commence bien !
Pourtant, j'ai une affection particulière pour cet album, non seulement parce qu'il comporte d'excellentes chansons, mais surtout parce que Springsteen a (il me semble) essayé un truc très sincère à ce moment-là, entre le disque du futur-Dylan et le disque du futur-du-rock-n-roll : un album de traine-savates, de poor-guys du boardwalk.
La photo de verso est explicite, et revendiquée.
(P....les mecs pieds-nus quand même !)
Cela donne un contenu à l'avenant, assez "libre", libéré des exigences : étonnant que Springsteen ait osé ce disque rétrospectivement. Où bien est-ce CBS qui a essayé de surfer sur la vague californienne en "repositionnant" notre Brucie ?
bref, quoi qu'il en soit, cet album a un atout incomparable à mon sens : il a du CHARME.
De belles chansons, de bons arrangements, des variations mélodiques, des incursions subtiles vers le jazz, le blues, le classique (le début au piano de NYC Sérenade : chef d'oeuvre), un peu d'esprit "latino". Un album melting-pot émouvant.
Un paradoxe personnel (je vais me faire dézinguer par le forum mais tant pis) : les deux chansons que j'aime le moins sur ce disque sont ses deux grands classiques : Sandy et Rosalita....PARDON
Sandy, parce que je trouve la musique mièvre, ça ne m'atteint pas (même si je sais que le texte est touchant)
Rosalita parce que cela fait trop "opéra-rock" pour moi : trop de variations, trop de bruit, trop de barouf. Je n'ai jamais réussi à me connecter à cette chanson. Etrange.
A contrario, j'adore absolument NyC Serenade et Kitty's Back : quelles pièces superbement torchées !
Mais, évidemment, c'est principalement dans des versions live que je repense à ces chansons. Elles ont pris au cours du temps une magnifique ampleur : je trouve d'ailleurs qu'elles sont ce que Springsteen joue de mieux sur scène aujourd'hui.
La version de NYC à Rome avec les violons....
Incident, à chaque fois, depuis 99 (souvenir je crois d'une version sur un boot du Rising tour....)
Kitty's back pareil (ma version récente préférée, chez Letterman en 2002)
The E Street shuffle sur cette tournée (excellent arrangement : je considère la version jouée avec "The Roots" chez Jimmy Fallon en 2012 comme la meilleur prestation de Bruce de ces 15 dernières années -avec l'émission chez Costello)
Bref, un album qui comporte quand même un sacré matériel, et qui est, à mon sens, la VRAIE carte postale du New Jersey et du passé du jeune Bruce Springsteen
Respect.
Re: The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
mathis a écrit:Comme Tof, impossible de me souvenir où je l'ai entendu la première fois, ni quand je l'ai acheté !
Ca commence bien !
Pourtant, j'ai une affection particulière pour cet album, non seulement parce qu'il comporte d'excellentes chansons, mais surtout parce que Springsteen a (il me semble) essayé un truc très sincère à ce moment-là, entre le disque du futur-Dylan et le disque du futur-du-rock-n-roll : un album de traine-savates, de poor-guys du boardwalk.
La photo de verso est explicite, et revendiquée.
(P....les mecs pieds-nus quand même !)
Cela donne un contenu à l'avenant, assez "libre", libéré des exigences : étonnant que Springsteen ait osé ce disque rétrospectivement. Où bien est-ce CBS qui a essayé de surfer sur la vague californienne en "repositionnant" notre Brucie ?
bref, quoi qu'il en soit, cet album a un atout incomparable à mon sens : il a du CHARME.
De belles chansons, de bons arrangements, des variations mélodiques, des incursions subtiles vers le jazz, le blues, le classique (le début au piano de NYC Sérenade : chef d'oeuvre), un peu d'esprit "latino". Un album melting-pot émouvant.
Un paradoxe personnel (je vais me faire dézinguer par le forum mais tant pis) : les deux chansons que j'aime le moins sur ce disque sont ses deux grands classiques : Sandy et Rosalita....PARDON
Sandy, parce que je trouve la musique mièvre, ça ne m'atteint pas (même si je sais que le texte est touchant)
Rosalita parce que cela fait trop "opéra-rock" pour moi : trop de variations, trop de bruit, trop de barouf. Je n'ai jamais réussi à me connecter à cette chanson. Etrange.
A contrario, j'adore absolument NyC Serenade et Kitty's Back : quelles pièces superbement torchées !
Mais, évidemment, c'est principalement dans des versions live que je repense à ces chansons. Elles ont pris au cours du temps une magnifique ampleur : je trouve d'ailleurs qu'elles sont ce que Springsteen joue de mieux sur scène aujourd'hui.
La version de NYC à Rome avec les violons....
Incident, à chaque fois, depuis 99 (souvenir je crois d'une version sur un boot du Rising tour....)
Kitty's back pareil (ma version récente préférée, chez Letterman en 2002)
The E Street shuffle sur cette tournée (excellent arrangement : je considère la version jouée avec "The Roots" chez Jimmy Fallon en 2012 comme la meilleur prestation de Bruce de ces 15 dernières années -avec l'émission chez Costello)
Bref, un album qui comporte quand même un sacré matériel, et qui est, à mon sens, la VRAIE carte postale du New Jersey et du passé du jeune Bruce Springsteen
Respect.
Pas mal de points communs avec toi dans mon approche de cet album.
Je crois que j'ai dû le découvrir entre 86 et 88, sans trop accrocher sur le coup.
Sandy, j'ai jamais vraiment aimé non plus, la mélodie ne m'a jamais trop touché.
On est donc au moins deux.
En revanche Rosalita, si. Même si j'ai mis du temps à cause de l'aspect décousu ou plutôt recousu du morceau.
C'est grâce à l'énergie visible sur les vidéos que le morceau a dû m'attraper...
Et c'est vrai qu' E Street shuffle, Kitty's Back, Incident et NYC Serenade sont quand même des putains de morceaux.
Ce qui relativise la façon qu'à Springsteen de présenter Born to Run comme l'album où il a compris comment composer.
Tout est presque déjà là sur the Innocent, même si l'agencement et la prod sont sans doute moins efficaces.
Mais là encore, la remasterisation de 2005 de Born to Run lui a donné un coup de fouet qui ne doit pas être étranger à cette impression.
Re: The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
C'est sans doute l'album que je préfère, même si j'ai du mal à en choisir un.
Lors du concert du 26 février dernier à Brisbane, ils l'ont joué en entier et c franchement grandiose.
Et le son est plutôt correct ce qui ne gâche rien.
Je vous conseille vivement de l'écouter....
Lors du concert du 26 février dernier à Brisbane, ils l'ont joué en entier et c franchement grandiose.
Et le son est plutôt correct ce qui ne gâche rien.
Je vous conseille vivement de l'écouter....
giltoul- Messages : 2
Date d'inscription : 17/05/2014
Album préféré : The Wild, The Innocent And The E Street Shuffle
Sujets similaires
» Pile Poil j'écoute ça
» E Street Shuffle & Detroit Muscle: A Tribute to Springsteen & Seeger
» High Hopes : la tracklist officielle
» Pile Poil j'écoute ça
» Pile Poil j'écoute ça
» E Street Shuffle & Detroit Muscle: A Tribute to Springsteen & Seeger
» High Hopes : la tracklist officielle
» Pile Poil j'écoute ça
» Pile Poil j'écoute ça
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 10 Aoû 2018 - 17:51 par sergers2000
» Live Archive
Ven 10 Aoû 2018 - 13:27 par jubeph
» Nouveau Forum LOHAD
Jeu 9 Aoû 2018 - 9:35 par nancy girl
» Pile Poil j'écoute ça
Mer 8 Aoû 2018 - 11:24 par bobe
» Tunnel Of Love à Vincennes : 30 ans aujourd'hui.
Mer 8 Aoû 2018 - 9:00 par pinouroo
» RIP David Bowie
Mer 8 Aoû 2018 - 5:13 par François
» The Rolling Stones, le topic
Mar 7 Aoû 2018 - 21:21 par Yazid
» Steve Forbert
Mar 7 Aoû 2018 - 17:41 par metalxiii
» John Hiatt
Lun 6 Aoû 2018 - 18:02 par bobe
» Classement Concours de Prono Coupe du Monde 2018
Dim 29 Juil 2018 - 21:23 par transpirator
» Put... 2 ans !
Ven 27 Juil 2018 - 17:01 par paulsh
» Steve Van Zandt
Jeu 26 Juil 2018 - 11:10 par peter pan
» Southside Johnny
Mar 24 Juil 2018 - 8:50 par metalxiii
» What's next?
Lun 23 Juil 2018 - 22:33 par Elcan
» Vos concerts à venir (et vos impressions)
Lun 23 Juil 2018 - 16:27 par Marc